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En Consultation

Un podcast de la Revue Médicale Suisse


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  • 1. Un nouveau regard sur mes douleurs

    14:08
    Les douleurs articulaires liées à une maladie rhumatismale inflammatoire sont un motif fréquent de consultation en médecine générale mais sont souvent associées à un retard et une errance diagnostique. En moyenne, le diagnostic de spondylarthrite ankylosante (SPA) est posé avec un retard de quatre à neuf ans.Dans ce premier épisode du nouveau podcast « En consultation », à travers l'histoire d'Anna, Docteur Sanae Mazouri nous explique comment les médecins généralistes sont en première ligne et pourquoi ils doivent se former à la démarche diagnostique de ces maladies ; la prise en charge et la qualité de vie du patient pouvant être améliorées par un diagnostic radiologique plus rapide par IRM et par l’efficacité des traitements anti-TNF.Les articles associés pour aller plus loin : https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2009/revue-medicale-suisse-194/imagerie-des-atteintes-inflammatoires-rachidienneshttps://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2016/revue-medicale-suisse-509/concept-general-et-pathogenese-des-spondylarthropathieshttps://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2023/revue-medicale-suisse-818/la-complexite-du-parcours-des-patients-avec-maladies-rhumatismales-inflammatoiresUn podcast de la Revue Médicale Suisse, produit par Nous Prod

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  • 2. Le vaccin qui sème le doute

    16:14
    La vaccino-hésitation est définit comme «le retard dans l’acceptation ou le refus des vaccins malgré la disponibilité de services de vaccination». Cette problématique considérée comme l’une des 10 premières menaces pour la santé dans le monde par l’OMS depuis 2019, varie selon l’environnement politique, géographique et culturel.Elle est souvent la conséquence d’une méconnaissance ou sous-estimation du risque sanitaire et un manque de confiance des patients. Tout professionnel de la santé doit donc être sensibilisé à ce sujet.
  • 3. Un médicament pour la vie

    14:39
    L’hypertension artérielle (HTA) est le principal facteur de mortalité dans le monde, touchant 1,13 milliard d’individus et causant près de 10 millions de décès par an. Pourtant, seulement la moitié des personnes hypertendues ont connaissance de leur HTA et moins de la moitié des patients hypertendus sont traités. Il apparaît qu’une adhésion thérapeutique sous-optimale joue un rôle crucial dans ces échecs. Avec la participation de la Professeure Marie-Paule Schneider, Professeure associée, Directrice pharma24, Groupe d’adhésion thérapeutique et interprofessionnalité, Section des Sciences Pharmaceutiques, Institut des Sciences Pharmaceutiques de Suisse Occidentale (ISPSO), Université de Genève.Un podcast de la Revue Médicale Suisse produit par Nous Prod
  • 4. Mal de dos, quand le stress s'en mêle !

    13:46
    Les lombalgies communes, appelées aussi non spécifiques, sont un motif très fréquent de consultation en médecine générale. Selon l’enquête mondiale Global Burden of Disease Study (GBD), les lombalgies constituent en effet un enjeu majeur en santé publique dans les pays développés. En effet, près de 4 personnes sur 5 présentent au moins un épisode de lombalgie au cours de leur vie.Avec la participation du Dr. Stéphane Genevay , spécialiste dans le service de rhumatologie et de la consultation multidisciplinaire de la douleur aux Hôpitaux universitaires de Genève.Un podcast de la Revue Médicale Suisse produit par Nous Prod
  • 5. Les médicaments de trop !

    16:39
    On parle de polypharmacie lors de la prise simultanée et régulière de 5 médicaments et plus. Cela concerne de plus en plus de patients âgés les exposant à un risque plus important de survenue d’effets indésirables ou d'interactions médicamenteuses. La non-observance des traitements et les hospitalisations sont également plus fréquentes. Avec le vieillissement de la population, nous assistons à une augmentation de la polymédication depuis quelques années et ceci dans tous les pays industrialisés. La Suisse ne fait pas exception.Avec la participation de Anne Niquille, Pharmacienne cheffe adjointe, responsable de l'Unité Recherche Secteur Pharmacie - DDP
  • 6. L’estomac qui s’enflamme !

    16:50
    La dyspepsie se caractérise par une douleur épigastrique qui dure au moins 4 semaines et qui peut être associée à un ensemble d’autres symptômes gastro-intestinaux supérieurs. Cela représente 5 à 7% des consultations en médecine de famille, deux tiers sont d’origine fonctionnelle. Au cabinet, les symptômes de dyspepsie les plus fréquents sont les épigastralgies. Le médecin traitant doit rechercher également d’autres symptômes comme un pyrosis et/ou une toux. Avec la participation de la Dre Caroline Bastid, Cheffe de clinique en gastro-entérologie et hépatologie aux HUG.
  • 7. Bien plus qu’une fausse-couche...

    17:58
    On évoque désormais une «perte de grossesse» plutôt que fausse couche lors de l’arrêt d’une grossesse avant 24 semaines d’aménorrhée (SA). 12% des grossesses se compliquent d’une perte définie comme précoce soit avant 10 SA. Une femme sur 4 avant 39 ans est confrontée à cette complication dont le nombre est sous estimé car cela survient souvent avant la réalisation d’un test de grossesse. Certains passages de cet épisode sont susceptibles d’heurter la sensibilité d’un public non averti.Avec la participation de Pr David Baud, médecin chef du Service d’obstétrique du CHUV.