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Calendrier La Bonne Semence
Dieu regarde au cœur
L’homme regarde à l’apparence extérieure, mais l’Éternel regarde au cœur.
1 Samuel 16. 7
Sonde-moi, ô Dieu ! et connais mon cœur ; éprouve-moi et connais mes pensées. Regarde s’il y a en moi quelque voie de malheur, et conduis-moi dans la voie éternelle.
Psaume 139. 23, 24
Dieu regarde au cœur
Nous attachons trop d’importance
À la forme et aux apparences…
Pour soigner sa réputation,
On peut tromper, faire illusion,
Vouloir la gloire, la renommée.
L’orgueil est si vite exprimé…
Mais Dieu aime l’humilité,
L’obéissance à sa pensée.
L’homme regarde l’extérieur,
Toi, notre Dieu, tu vois les cœurs
Et leurs secrets, Dieu Tout-Puissant,
Tu es lumière et omniscient.
Y a-t-il des actes de piété :
Confessions, zèle et charité ?
Dieu nous montre qu’ils n’ont du prix
Que si c’est Lui qui les produit.
Il voit toujours les intentions,
Et les motifs de nos actions.
En un clin d’œil nous Le verrons,
Devant Lui seul nous nous tiendrons.
Toute œuvre sera révélée :
Bien et mal enfin dévoilés.
Des premiers seront les derniers,
Des inconnus manifestés.
Les humbles et les droits de cœur,
Seront alors mis à l’honneur.
Sonde-nous et connais nos cœurs,
Éprouve-nous en profondeur
Et conduis-nous jour après jour,
Par ta lumière et ton amour.
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L’œuf de chaque jour
02:14|Celui même qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous fera-t-il pas don aussi, librement, de toutes choses avec lui ?Romains 8. 32L’œuf de chaque jourLors de persécutions religieuses dans un pays d’Amérique latine, un chrétien qui s’était réfugié dans un grenier se cachait derrière un grand tas de branches. Les soldats ont fouillé toute la maison sans le trouver… mais ensuite, se sont installés au rez-de-chaussée. Bientôt la faim s’est fait sentir, et ce croyant, dans sa cachette, s’est mis à prier pour cela. Dieu l’a entendu, et chaque jour, une poule entrait par la fenêtre pour pondre un œuf près de lui. Fait remarquable, cette poule ne chantait jamais après la ponte, ce qui aurait inévitablement donné l’alerte. Au bout de quinze jours, les soldats sont partis, le chrétien était délivré.Ce miracle n’est-il pas une touchante manifestation de la bonté de Dieu qui répond aux prières ? Pour lui, nos problèmes ne sont ni trop petits, ni trop grands. Rien ne le dépasse.Il nous arrive à tous d’avoir besoin de délivrance, de secours, et cela dans des occasions variées. Tout d’abord, comme êtres humains pécheurs, nous avons besoin d’un Sauveur qui nous délivre du jugement de Dieu, car Dieu est saint. Jésus est ce Sauveur : il a subi le châtiment à notre place sur la croix, lorsqu’il a pris nos péchés sur lui. Puis, dans notre vie chrétienne, nous avons aussi besoin d’être aidés chaque jour, c’est pourquoi nous sommes invités à prier notre Dieu avec confiance “pour avoir du secours au moment opportun” (Hébreux 4. 16).Nous pouvons aussi le prier à plusieurs. Au début de l’Église, les croyants faisaient “d’instantes prières à Dieu” (Actes 12. 5). Faisons de même !Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.comCris de douleur ou cris d’appel ?
02:15|On crie à cause de la multitude des oppressions, et on appelle au secours… Et on ne dit pas : Où est Dieu, mon créateur ?Job 35. 9, 10Seigneur !… mon gémissement ne t’est pas caché.Psaume 38. 10Cris de douleur ou cris d’appel ?Attentats terroristes, catastrophes diverses, pandémies, guerres… Les hôpitaux ne désemplissent pas, la souffrance est partout.Avons-nous été touchés récemment par un drame ? Si oui, comment réagissons-nous ? Gardons-nous notre souffrance pour nous-mêmes ? Nos cris de douleur s’adressent-ils uniquement à nous-mêmes et à notre entourage ?Serions-nous de ceux qui souffrent sans élever un seul cri d’appel vers Dieu, sinon un cri d’accusation ? Dieu devrait-il dire de nous : “Ils n’ont pas crié à moi dans leur cœur” (Osée 7. 14) ? N’avons-nous pas, souvent, oublié, négligé ou ignoré l’unique remède à notre détresse ? Il vient de Dieu lui-même !Satan nous persuade, à tort, mais parfois avec succès, que Dieu est lointain et indifférent à nos souffrances. En réalité, c’est Satan qui ne connaît ni amour, ni bonté, ni sentiment de miséricorde.Pour Dieu, pas une seule de ses créatures ne souffre sans qu’il ait compassion. “Ses compassions sont sur toutes ses œuvres” (Psaume 145. 9). Elles sont “très grandes”, elles “ne cessent pas ; elles sont nouvelles chaque matin” (1 Chroniques 21. 13 ; Lamentations de Jérémie 3. 22, 23).Il faut donc que nos cris de détresse prennent la forme de cris d’appel à lui ! Dieu entendra, il est “un secours dans les détresses” (Psaume 46. 2). Sa promesse est formelle : “Crie vers moi, et je te répondrai” (Jérémie 33. 3).Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.comHypocrisie
02:28|Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! car vous ressemblez à des tombeaux blanchis, qui paraissent beaux à l’extérieur, mais qui, à l’intérieur, sont pleins d’ossements de morts.Matthieu 23. 27Toi, qui es-tu ? Et Jésus leur dit : Absolument ce qu’aussi je vous dis !Jean 8. 25HypocrisieDans les évangiles, nous voyons souvent Jésus dénoncer sévèrement l’hypocrisie des chefs religieux de son époque : “Quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner la trompette devant toi, comme font les hypocrites… Quand tu pries, ne sois pas comme les hypocrites, car ils aiment prier debout… pour être vus des hommes” (Matthieu 6. 2, 5). “Tout ce qu’ils vous disent, faites-le… mais ne faites pas selon leurs œuvres, car ils disent et ne font pas” (Matthieu 23. 3). Voilà un véritable problème, qui nous concerne tous : le désir de rechercher à tout prix l’approbation des autres, quitte parfois à dissocier complètement nos motivations intérieures de ce que nous allons montrer ou dire.Jésus dénonce cette humilité de façade (notamment dans des actes religieux) qui cache pourtant des motifs égoïstes et prétentieux. Il est lui-même le modèle parfait de cohérence, de droiture, de transparence et d’humilité : son enseignement et sa vie ne font qu’un, il dit ce qu’il est, il fait ce qu’il dit. À ceux qui lui demandent qui il est vraiment, Jésus répond : “Absolument ce qu’aussi je vous dis”, c’est-à-dire : entièrement, exactement, sans aucune dissimulation, je suis tout ce que je vous ai dit.L’hypocrisie est un péché grave aux yeux de Dieu, tout d’abord parce qu’elle est duplicité, mensonge et orgueil, mais aussi parce qu’elle fausse notre témoignage chrétien, ce qui peut éloigner les autres de Jésus Christ.Ne faisons pas semblant d’être ce que nous ne sommes pas, et demandons au Seigneur qu’il nous aide à être vrais dans nos actes, dans nos paroles, vrais dans notre cœur.Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.comLa mort sera engloutie en victoire (2)
02:35|J’ai le désir de partir et d’être avec Christ, car c’est, de beaucoup, meilleur.Philippiens 1. 23Quand… ce mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : “La mort a été engloutie en victoire”.1 Corinthiens 15. 54La mort sera engloutie en victoire (2)Dans son ouvrage, “Apprendre à vieillir”, le docteur Paul Tournier parle de l’angoisse de la mort, à laquelle Jésus lui-même n’a pas échappé. Son angoisse, conséquence de ma rébellion,… l’angoisse de l’accablement de mes péchés sur son âme sans péché. Sur la croix, Jésus devait apporter le prix pour mes offenses. Il l’a fait et, par lui, j’en suis acquitté.Voilà pourquoi les chrétiens qui ont cru en Jésus, le Fils de Dieu, peuvent quitter ce monde dans la paix du cœur, en disant à la suite de l’apôtre Paul : “J’ai le désir de partir et d’être avec Christ, car c’est, de beaucoup, meilleur”.D’un mourant, le monde dit : “Il est perdu”. Et s’il n’appartient pas à Christ, l’évangile le dit aussi. “Le Fils de l’homme est venu pour sauver ce qui était perdu” (Matthieu 18. 11). La mort est la perte, la perte des pertes, mais Jésus est venu me sauver de cette mort pour me faire entrer dans une plénitude de vie, par la résurrection.Un jour Jésus me revêtira d’un corps incorruptible, glorieux, spirituel (1 Corinthiens 15. 42-44). Un corps comme celui de Jésus, quand il est monté vivant auprès du Père, après sa résurrection. Avec ce corps, pour moi, plus de larmes, plus de deuil, plus de cris, plus de douleur, plus de mort (Apocalypse 21. 4). C’en sera fini d’être un mortel. Vivant, par grâce, d’une nature divine et accueilli dans la présence de Jésus, avec tous ceux qui ont cru en lui. Alors s’accomplira la parole : “La mort a été engloutie en victoire” (verset du jour).(d’après Bernard Dunand)Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.comLe juste est plein de confiance (1)
02:39|Le juste est plein de confiance, dans sa mort même.Proverbes 14. 32Le temps de mon départ est arrivé.2 Timothée 4. 6Jusqu’à votre vieillesse je suis le Même, et jusqu’aux cheveux blancs, je vous porterai.Ésaïe 46. 4Le juste est plein de confiance (1)“Discourir sur un événement est une chose ; le vivre en est une autre. Il est facile de parler de la mort… des autres. Mais quand je vis ma propre vieillesse et que j’approche de ma propre mort, tout en moi réagit. Ma personne même, dans tout ce que je suis, se trouve enserrée dans ses ultimes circonstances terrestres. Et mes entrailles profondes angoissent. “La mort de celui qui meurt” (Ézéchiel 18. 32) sera-t-elle bientôt la mienne ?Un ami m’écrit : “Quelle amère solitude que l’approche de la mort !” Que faire alors ? Y penser le moins possible ? Se distraire ? “Mangeons et buvons, car demain nous mourrons” (1 Corinthiens 15. 32). Je ne puis. La Bible, par le Saint Esprit, a placé dans mon cœur une exigence de réalisme et de vérité.Du reste, la mort vient journellement à ma rencontre par le déclin, progressif ou par à-coups, de mon corps et de mes facultés. Vous qui vieillissez, vous connaissez comme moi cette alternance d’enthousiasme et d’abattement. Enthousiasme en ces moments où nous ressentons encore notre vigueur. Abattement lorsque nos forces paraissent nous abandonner ou que la maladie menace.Je souffre avec des amis croyants, que l’âge diminue et éloigne des autres. Et je pense : voilà ce qui t’attend… Mais je me dis aussi qu’un chrétien doit se montrer confiant encore pendant la vieillesse et jusque dans la mort. Cette confiance, c’est l’énergie de la foi en Christ ressuscité. Pour que cela tienne dans les moments de vérité, je prie chaque jour le Seigneur : “Je crois, viens en aide à mon incrédulité” (Marc 9. 24).”(à suivre)Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.comUn Dieu qui commande (1)
02:20|Dieu dit : Que la lumière soit. Et la lumière fut.Genèse 1. 3Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance.Genèse 1. 26Un Dieu qui commande (1)Dès le début de l’histoire de l’homme créé par Dieu sur la terre, nous voyons la puissance de la Parole divine : Dieu dit, et il en est ainsi.L’homme a été créé à l’image de Dieu, homme et femme, et ensuite a été béni, en recevant tout ce dont il avait besoin (Genèse 1. 28-30). Puis, dans sa souveraineté, Dieu a commandé à l’homme de ne pas manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal (Genèse 2. 17), sous peine de mourir. Ce premier commandement donné à la créature par le Créateur n’a pas été respecté, et Adam et Ève ont désobéi. Ils ont été chassés de la présence bienfaisante de Dieu, et condamnés à mourir. Triste conséquence de la désobéissance de l’homme au commandement de Dieu !Le tout début de l’histoire de l’humanité, relaté dans la Parole de Dieu, nous montre que Dieu commande en vue du bien de sa créature. Mais l’être humain, attiré par ses convoitises, désobéit aux commandements de Dieu, ce qui conduit à la mort. “Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et ainsi la mort a passé à tous les hommes, du fait que tous ont péché” (Romains 5. 12).Nous sommes placés devant l’absolue nécessité de donner à Dieu la place d’autorité qui lui revient, et de réaliser que ses commandements à notre égard sont pour notre bien : “Qu’est-ce que l’Éternel, ton Dieu, demande de toi, sinon que tu craignes l’Éternel, ton Dieu, pour marcher dans toutes ses voies, et pour l’aimer,… en gardant les commandements de l’Éternel…, pour ton bien ?” (Deutéronome 10. 12, 13)(à suivre vendredi prochain)Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.comDieu laisse faire
02:33|La ville est remplie d’injustices… Ils ont dit :… L’Éternel ne voit pas.Ézéchiel 9. 9Nous supplions pour Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !2 Corinthiens 5. 20Dieu laisse faireOn entend souvent dire : “Si Dieu est bon et puissant comme vous le prétendez, si c’est un Dieu d’amour, pourquoi y a-t-il dans le monde tant de souffrance, tant de violence, tant d’injustice insupportable ?”Pourquoi ?… Parce que Dieu respecte la liberté humaine. Il n’a pas créé des robots, il a créé des êtres intelligents, responsables, capables de faire des choix. Or cette liberté, l’homme en a usé d’abord pour désobéir à Dieu et vivre sans tenir compte de lui ; ensuite, pour crucifier son Fils, Jésus, choisissant ainsi de suivre Satan, que Jésus appelle “le chef du monde”.Pour le moment, Dieu patiente encore, laissant les hommes aux conséquences terribles de leurs actes et de leurs choix (voir Ecclésiaste 8. 11). Aujourd’hui il appelle chacun à revenir à lui, à se repentir, à se tourner vers Jésus Christ : il invite, il supplie même, mais il ne contraint pas. L’évangile qui nous fait comprendre l’amour de Dieu n’est pas une loi qui s’impose, c’est un don qui se reçoit volontairement.Mais si Dieu supporte encore l’injustice et la violence, ses plans s’accompliront bientôt, sa longue patience prendra fin et sa toute-puissance sera vue de tous ceux qui auront méprisé ses droits et refusé sa grâce.“Il a fixé un jour où il doit juger avec justice la terre habitée, par l’Homme qu’il a destiné à cela” (Actes 17. 31). Cet homme, c’est Jésus Christ, qui a été parfaitement juste sur la terre, qui est maintenant dans le ciel, et qui reviendra. Ce jour-là aussi, “le juge de toute la terre ne fera-t-il pas ce qui est juste ?” (Genèse 18. 25)Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.comUn témoin fidèle
02:01|Ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi.Galates 2. 20Un témoin fidèleFriedrich Wilhelm Baedeker (1823-1906) a travaillé comme missionnaire, principalement en Russie. Né en Allemagne, il émigre ensuite en Angleterre, où il fonde une école supérieure à Weston-super-Mare.En 1866, avant sa conversion à Christ, il est invité à entendre un évangéliste bien connu, Lord Radstock. Le message l’intéresse et il revient l’écouter les soirs suivants. Mais il s’arrange soigneusement pour ne pas rencontrer le prédicateur.Un soir, cependant, impossible de l’éviter. Lord Radstock l’invite à aller dans une pièce voisine pour parler tranquillement. Au cours de l’entretien son cœur est profondément touché, et un véritable changement se produit en lui. Aucun de ses arguments d’athée ne résiste, et il trouve la foi en Dieu. Il se reconnaît pécheur, confesse à Dieu sa culpabilité et remet sa vie au Seigneur Jésus Christ. Son cœur se remplit de joie. C’est ainsi qu’il décrit ces moments : “Je suis entré comme un incrédule orgueilleux, et suis ressorti comme un humble croyant et un disciple du Seigneur. Dieu en soit béni !” Peu après, sa femme accepte également Christ comme son Sauveur.Après sa conversion à Christ, Baedeker entreprend de longs voyages dans les pays de l’Est. En Russie, il obtient la permission de visiter des camps et des prisons. Il prêche l’évangile aux détenus et leur apporte des milliers de Bibles et de l’aide matérielle.Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com