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Donne le Rythme

Le podcast sur l'entrepreneuriat belge


Épisode recommandé

  • #49 - De Deliveroo à médium : l’histoire d’une vie réinventée

    02:25:28|
    Laisse-toi porter par l’histoire d'une femme indépendante : Virginie Eeman. Un épisode qui t’emmène dans un univers peut-être très loin du tien — mais qui pourrait bien résonner plus que tu ne le crois.Virginie commence sa vie professionnelle dans la pub, un milieu dans lequel elle ne se sent rapidement plus à sa place.Elle rejoint Deliveroo Belgique en plein lancement, elle est l’une des premières employées. Elle évolue rapidement jusqu’à devenir directrice commerciale.Mais depuis l’adolescence, son corps lui envoie des signaux. Elle vit avec une polyarthrite rhumatoïde, une maladie auto-immune qui l’oblige à composer avec la douleur, la fatigue, et certaines limites — et qui devient sa boussole. Alors elle s’écoute, et quitte la start-up avant de voir sa santé dégénérer. En 2021, Virginie lance Simone Stories avec sa mère journaliste : elles produisent des récits de vie sous forme de biographies et de podcasts privés.Et puis, peu de temps après, un événement inattendu. Une rencontre, des rêves étranges, des visions. Elle capte des choses. Elle ne comprend pas tout. Elle découvre qu’elle est médium.Aujourd’hui, Virginie jongle entre deux activités pas toujours éloignées : d’un côté, la transmission et la mémoire avec Simone Stories, de l’autre, une pratique thérapeutique intuitive où elle développe son lien avec l’invisible.Dans cet épisode, on parle :de son parcours pro chez Deliveroo et dans la pubdu rôle que la maladie a joué dans ses décisionsde la création de Simone Stories et du lien mère-fillede la découverte de ses perceptions extrasensoriellesde la réalité d’une double activité… pas toujours rentable, ni simple à assumerde comment elle ose en parler autour d’elle et accepte progressivement cette nouvelle réalitéde sa reconversion professionnelle, entre business et intuitionUn des échanges les plus intrigants de ce podcast.P.S. : c'est par ici pour voir à quoi ressemblent les visions de Virginie.----🎁 Offre sponsor pour les indépendant·e·s !Cet épisode est soutenu par Yago, courtier digital en assurance pour indépendants et PME.Ils t’aident à choisir les bonnes couvertures et négocier les meilleurs tarifs.Un partenaire que je recommande depuis des années et avec qui je travaille moi-même depuis plus de 6 ans.----Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre le podcast belge Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn et Instagram.----Une idée de collab ? Une réaction à partager ?👉 thim@thimremy.com

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  • 53. #53 - 50 startups, 3 licornes… et un burn-out : les coulisses d’Hexa

    02:04:39||Ep. 53
    Quentin Nickmans est une figure incontournable de la tech européenne et internationale. Il a cofondé Hexa (anciennement eFounders), un startup studio qui a lancé plus de 50 boîtes et créé 3 licornes pour une valorisation totale de plus de 5 milliards d’euros.Leur modèle ? Ils ne se contentent pas d'investir. Ils ont l’idée, ils trouvent les cofondateurs, et ils bâtissent la boîte avec eux.Mais derrière la "success story" et les milliards de valorisation, Quentin partage aussi les galères qu’il a traversées. Il ne cache pas grand chose : ni la complexité de l'association, ni la pression qui l'a mené au burn-out en 2016.Dans cet épisode, il nous explique comment Hexa est passé d’un simple studio à une plateforme entrepreneuriale complète qui bâtit des entreprises tout en participant au développement de sociétés déjà existantes et il détaille aussi pourquoi il se bat aujourd'hui pour la souveraineté européenne et la liquidité du capital dans ces entreprises qui valent des millions mais uniquement sur papier.Dans cet épisode, Quentin raconte :Les critères pour trouver les cofondateurs idéaux et ce qu’il faut pour que la "mayonnaise prenne"Son burn-out en 2016 : le moment où il a vu des étoiles sur son écran et a dû tout couperPourquoi entreprendre avant 30 ans est un "non-choix" et un risque limitéLe fonctionnement d'Hexa : de l'idée au lancement, jusqu'à l'exitPourquoi la liquidité est le talon d'Achille de la tech européenne (et comment il veut y remédier)Les nouvelles ambitions d'Hexa dans la défense, la souveraineté et le Private EquityUn épisode dense, nuancé, qui décortique la mécanique de création des plus belles startups logicielles d'Europe, tout en rappelant l'importance de l'équilibre mental.🎁 Offre sponsor pour les indépendant·e·s !Cet épisode est soutenu par Accountable, l'app numéro un pour les indépendants en Belgique.Ils t’aident à gérer tes factures, suivre tes impôts en temps réel et ne plus jamais stresser pour ta TVA.C'est le partenaire que je recommande et j'ai négocié 3 mois gratuits pour toi via ce lien : https://thimremy.com/accountable Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn.Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.com 
  • [EXTRAIT] #53 - Quentin Nickmans - la vérité sur les galères d’entrepreneurs

    11:13|
    Quentin Nickmans est une figure incontournable de la tech européenne et internationale. Il a cofondé Hexa (anciennement eFounders), un startup studio qui a lancé plus de 50 boîtes et créé 3 licornes pour une valorisation totale de plus de 5 milliards d’euros.Leur modèle ? Ils ne se contentent pas d'investir. Ils ont l’idée, ils trouvent les cofondateurs, et ils bâtissent la boîte avec eux.Mais derrière la "success story" et les milliards de valorisation, Quentin partage aussi les galères qu’il a traversées. Il ne cache pas grand chose : ni la complexité de l'association, ni la pression qui l'a mené au burn-out en 2016.Dans cet épisode, il nous explique comment Hexa est passé d’un simple studio à une plateforme entrepreneuriale complète qui bâtit des entreprises tout en participant au développement de sociétés déjà existantes et il détaille aussi pourquoi il se bat aujourd'hui pour la souveraineté européenne et la liquidité du capital dans ces entreprises qui valent des millions mais uniquement sur papier.Dans cet épisode, Quentin raconte :Les critères pour trouver les cofondateurs idéaux et ce qu’il faut pour que la "mayonnaise prenne"Son burn-out en 2016 : le moment où il a vu des étoiles sur son écran et a dû tout couperPourquoi entreprendre avant 30 ans est un "non-choix" et un risque limitéLe fonctionnement d'Hexa : de l'idée au lancement, jusqu'à l'exitPourquoi la liquidité est le talon d'Achille de la tech européenne (et comment il veut y remédier)Les nouvelles ambitions d'Hexa dans la défense, la souveraineté et le Private EquityUn épisode dense, nuancé, qui décortique la mécanique de création des plus belles startups logicielles d'Europe, tout en rappelant l'importance de l'équilibre mental.🎁 Offre sponsor pour les indépendant·e·s !Cet épisode est soutenu par Accountable, l'app numéro un pour les indépendants en Belgique.Ils t’aident à gérer tes factures, suivre tes impôts en temps réel et ne plus jamais stresser pour ta TVA.C'est le partenaire que je recommande et j'ai négocié 3 mois gratuits pour toi via ce lien : https://thimremy.com/accountable Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn.Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.com 
  • #52 - L’histoire d’un premier film récompensé à Cannes

    02:15:19|
    Aujourd’hui, on plonge dans l’univers du cinéma avec le réalisateur belge Valéry Carnoy.Son premier long métrage La Danse des Renards a été récompensé à la Quinzaine des Cinéastes à Cannes en mai 2025.Valéry découvre le cinéma tard, à 23 ans, après un parcours improbable : études de psychologie, problèmes d’audition, difficultés scolaires, sentiment de décalage.En 2018, il termine l’INSAS et sans vraiment le prévoir, ses projets prennent de l’ampleur :Ma Planète, son court métrage de fin d’études, tourne dans plus de 80 festivals.Titan rafle 30 prix et se retrouve nommé aux Magritte et sélectionné aux César.Et aujourd’hui, La Danse des Renards décroche deux prix à Cannes à la Quinzaine des cinéastes (Directors' Fortnight).Mais derrière cette success story, il y a tout ce qu’on voit rarement : les doutes, les petits boulots dans des bars, la pression financière, la peur de ne pas être légitime, les critiques parfois violentes.Dans cet épisode, on parle de :Comment on finance un film en Belgique : bourses, Tax Shelter et concoursLa précarité du métier : pourquoi un court métrage ne rapporte pas d’argent, comment tenir entre deux projets, et ce que les prix changent vraiment.Ses castings sauvages et sa façon de travailler avec des adolescents non professionnels.La pression post-Cannes : les attentes, les négociations, la peur de devoir “faire aussi bien” ou “mieux” pour le prochain film.L’importance de s’entourer : le rôle crucial de sa productrice qui la protège des mauvais choix.Son rapport au cinéma : pourquoi être un grand cinéphile n’est pas toujours un avantage, et comment la naïveté peut parfois libérer la créativité.On décortique un milieu qui fait rêver, mais qui reste l’un des plus imprévisibles et exigeants qui existent.Profite bien de cet échange. Je me suis régalé.----🎁 Offre sponsor pour les indépendants !Bénéficie de 3 mois gratuits chez Accountable à l'inscription avec le code RYTHME via ce lien : https://thimremy.com/accountable----Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visitethimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn.----Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.com
  • #51 - Ce que l’école oublie d’enseigner : la mission d’Out of the Books

    01:53:54|
    Alexia Martin a cofondé Out of the Books, une ASBL qui rassemble enseignants, experts et passionnés d’éducation pour transformer l’enseignement en Belgique francophone.Leur ambition ?Créer des ponts entre ceux qui font l’école et ceux qui la pensent.Mettre en avant les pédagogies innovantes, les projets alternatifs, et donner de la visibilité à ceux qui essaient de faire autrement.Chaque année, elles organisent le Festival Out of the Books, qui réunit des milliers d’enseignants, parents et enfants autour de conférences, d’ateliers et de nouvelles pratiques.Un événement qui met un vrai coup de frais dans le paysage éducatif belge.Mais derrière le joli storytelling, il y a la réalité du terrain :une ASBL qui doit survivre financièrement, un secteur en crise, et un modèle économique à réinventer.Transformer l’éducation, ça coûte : en énergie, en temps et en argent.Dans cet épisode, Alexia raconte :comment elle a cofondé Out of the Books avec Sophie Vanden Plascomment deux profils très différents ont trouvé leur complémentarité dans un projet communla face cachée du modèle économique d’un festival pour enseignantsce que ça implique de vivre sur un modèle associatif quand c’est ta seule source de revenusla réalité du terrain : directeurs en pénurie, enseignants à bout, et pourtant toujours motivés à apprendreet aussi, plus personnellement, ce que ça fait de grandir dans une famille d’entrepreneurs, avec un père fondateur d’une chaîne hôtelière emblématique (Martin’s Hotels), tout en cherchant à tracer sa propre voieUn épisode sur ce que ça veut dire de vouloir changer les choses, même quand c’est pas “bankable”.Et sur le courage de porter un projet éducatif ambitieux… dans un pays où le mot “éducation” rime trop souvent avec “pénurie”.----🎁 Offre sponsor pour les indépendant·e·s !Cet épisode est soutenu par Yago, courtier digital en assurance pour indépendants et PME.Ils t’aident à choisir les bonnes couvertures, négocier les meilleurs tarifs et gérer tes assurances sans blabla.Un partenaire que je recommande depuis des années et avec qui je travaille moi-même depuis plus de 6 ans.----Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn et Instagram. J'y poste des conseils et infos pratiques pour indépendant·e·s.----Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.com
  • #50 - Mekanika : le business model qui enterre l'obscolescence programmée

    02:00:20|
    Maxime Gravet construit une alternative industrielle à l’obsolescence programmée.Ingénieur, maker dans l’âme et cofondateur de Mekanika — une startup belge qui bouscule les codes de l’industrie avec une vision : produire local, durable, open source… sans sacrifier le design ni la rentabilité.Avec deux potes d’enfance, Martin et Roldan, ils ont monté une boîte qui conçoit et vend des machines open source pour fabriquer localement : découper, graver, percer… dans du bois, du métal, du plastique. Tu reçois tout en kit, tu montes toi-même. Et tu comprends ce que tu utilises.Mais Mekanika, c’est pas juste une boîte de machines. C’est un projet de société. Une réponse à l’obsolescence programmée, à la production de masse, aux objets pensés pour casser vite.Dans cet épisode, Maxime raconte :comment ils sont passés d’un garage à une PME de 17 personnes et 3 millions de chiffre d’affairesles galères traversées (dont une où il reste 6000€ sur le compte pour payer 5 salariés)ce que ça implique de créer un produit industriel, de le rendre durable, open source et réparablepourquoi leur vision, c’est qu’une machine doit durer toute une vieet comment une vidéo YouTube a lancé leurs premières ventes de sérigraphieOn parle aussi de résilience en pleine crise logistique, de circuits courts, du mouvement maker et de comment concilier fabrication locale, éthique et rentabilité.Un épisode qui te donne envie de construire des trucs, de miser sur l’utile plutôt que le jetable, et de repenser la manière dont on produit.C’est clair, c’est inspirant, c’est belge.----🎁 Offre sponsor pour les indépendant·e·s !Cet épisode est soutenu par Yago, courtier digital en assurance pour indépendants et PME.Ils t’aident à choisir les bonnes couvertures, négocier les meilleurs tarifs et gérer tes assurances sans blabla.Un partenaire que je recommande depuis des années et avec qui je travaille moi-même depuis plus de 6 ans.----Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn et Instagram. J'y poste des conseils et infos pratiques pour indépendant·e·s.----Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.com
  • #48 - 90% des startups se plantent : la vérité derrière l'argent des business angels

    02:14:37|
    Claire Munck a passé 20 ans à naviguer dans l’écosystème de l’investissement early-stage en Europe.Aujourd’hui, elle dirige BeAngels, le plus grand réseau de business angels en Belgique.Et son métier, c’est d’organiser les rencontres entre des entrepreneurs qui cherchent à lever des fonds et des investisseurs privés prêts à miser une partie de leur patrimoine sur de jeunes pousses.À ce jour, BeAngels a déjà investi plus de 78 millions d’euros dans 478 startups.Chaque année, ce sont entre 6 et 8 millions qui sont investis via la communauté.Et Claire vise x5 dans les trois prochaines années : 30 millions.Mais derrière les beaux chiffres, il y a une réalité plus nuancée.Investir dans des startups, c’est un cycle : t’es tout excité, tu mises, tu perds de l’argent, tu apprends… et si tu restes assez longtemps et que t’as aussi un peu de chance, tu finis par gagner.Un vrai marathon : 10 ans pour un cycle complet.Dans cet épisode, Claire raconte :pourquoi être business angel, ce n’est pas “mettre un ticket” et attendre un retour, mais un engagement sur la duréeles erreurs classiques que font les nouveaux investisseurs (et comment les éviter)ce que les entrepreneurs sous-estiment souvent quand ils veulent lever des fondsla déconnexion entre la vie réelle des startups et les discours politiquespourquoi elle croit qu’il faut partager aussi les échecs, pas seulement les belles histoiresOn a aussi parlé de son parcours personnel, de son rôle dans la création de ScaleFund, et de ce que ça fait de porter une mission ambitieuse dans un secteur dominé par les chiffres, les ego et les promesses rapides.On vulgarise tout, pas de bullshit.On t’explique tout ce qu’implique vraiment l’investissement early-stage.----🎁 Offre sponsor pour les indépendant·e·s !Cet épisode est soutenu par Yago, courtier digital en assurance pour indépendants et PME.Ils t’aident à choisir les bonnes couvertures, négocier les meilleurs tarifs et gérer tes assurances sans blabla.Un partenaire que je recommande depuis des années et avec qui je travaille moi-même depuis plus de 6 ans.----Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn et Instagram. J'y poste des conseils et infos pratiques pour indépendant·e·s.----Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.com
  • #47 - Brussels Beer Project : 1000 ans de bière belge réinventés

    02:24:48|
    Tout commence en 2013, dans une cave à Bruxelles.Olivier de Brauwere et Sébastien Morvan brassent 4 bières test – Alpha, Beta, Gamma, Delta – et demandent à leur communauté de choisir.C’est la Delta IPA qui rafle la mise. Dix ans plus tard, elle est devenue l’IPA préférée des Belges et l’emblème d’une brasserie qui a bouleversé le paysage brassicole.Brussels Beer Project, c’est aujourd’hui :25 000 hectolitres de bière brassés par an10 millions de chiffre d’affaires2 brasseries à Bruxelles, dont l’une gère quasi toute la production6 bars en Belgique et en Franceune communauté de 6000 crowdfunderset le statut B Corp, acquis en 2022Une success story dans un marché en déclin – car oui, on boit de moins en moins de bière en Belgique.Dans cet épisode, Olivier raconte :son pivot de Procter & Gamble vers l’entrepreneuriat brassicolela naissance de Brussels Beer Project et le pari de la Delta IPAcomment ils ont lancé Babylone, la première bière au monde brassée à partir de pain invenduleur focus sur l’agriculture régénérative, qui redonne vie aux sols et capte du carboneleur décision radicale d’arrêter l’export mondial (même au Japon où ils avaient ouvert un bar) pour se concentrer uniquement sur l’Europeleur stratégie de croissance entre bars, e-shop et production localele défi d’innover dans un secteur dominé par AB InBevet leur engagement : réduire leur impact carbone de 10 % par hectolitre chaque annéeUn épisode à déguster sans modération, sur la créativité, l’impact et la force d’une communauté.----🎁 Offre sponsor pour les indépendant·e·s !Cet épisode est soutenu par Yago, courtier digital en assurance pour indépendants et PME.Ils t’aident à choisir les bonnes couvertures, négocier les meilleurs tarifs et gérer tes assurances sans blabla.Un partenaire que je recommande depuis des années et avec qui je travaille moi-même depuis plus de 6 ans.----Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn et Instagram. J'y poste des conseils et infos pratiques pour indépendant·e·s.----Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.com
  • #46 - 3M€ en 4 ans : le pari fou d’Ekillibre sur les cantines scolaires

    02:11:37|
    Benoît Leplae a toujours eu le goût des challenges. Après 8 boulots en 8 ans, il devient directeur financier dans une école secondaire… et c’est là qu’il a le déclic. Les cantines scolaires ne peuvent plus continuer comme ça.En 2020, il lance Ekillibre, avec une idée simple mais révolutionnaire : proposer aux écoles des repas sains et équilibrés, cuisinés par des traiteurs locaux, accessibles via une app simple pour les parents, et sans aucune gestion pour les établissements.Quatre ans plus tard, les chiffres sont impressionnants : 8 000 repas servis chaque jour, 200 écoles partenaires, 30 traiteurs locaux, 10 employés, et un chiffre d’affaires qui frôle les 3 millions d’euros.Ce succès, Benoît ne l’a pas bâti seul. Il a embarqué son père, sa femme et son meilleur ami dans l’aventure. Une équipe familiale pour une mission à impact sociétal : faire passer le taux d’enfants qui mangent chaud de 10% à 20-25% dans les écoles partenaires.Mais derrière la success story, il y a eu des choix difficiles. Un refus catégorique de passer à mi-temps qui l’a poussé à quitter son poste du jour au lendemain. Des discussions parfois tendues sur l’équilibre entre vie pro et vie perso. Et une croissance tellement rapide qu’il a fallu la ralentir pour stabiliser le modèle.Pas de levées de fonds spectaculaires. Juste une vision claire : réinventer la cantine scolaire et prouver qu’on peut allier santé, proximité et impact social.Dans cet épisode, on revient sur :Comment Benoît a eu l’idée d’Ekillibre en travaillant dans une écoleLe moment où il a quitté son job du jour au lendemain pour se lancer à 100%Pourquoi il a choisi d’impliquer son père, sa femme et son meilleur ami dans l’aventureLes défis d’une croissance fulgurante : de 14 à 200 écoles en 4 ansSa vision pour l’avenir : stabiliser, puis passer à une autre dimension sans se trahirUn épisode inspirant qui montre qu’on peut transformer un secteur aussi traditionnel que la restauration scolaire… en gardant les pieds sur terre.----Tu veux te faire accompagner dans ton projet entrepreneurial ?Visite thimremy.com et réserve un appel gratuit pour faire connaissance.Tu peux aussi suivre Donne le Rythme sur Instagram & me suivre sur LinkedIn et Instagram. J'y poste des conseils et infos pratiques pour indépendant·e·s.----Une idée de collab ? Un·e invité·e à proposer ? Une réaction à partager ?Écris-moi : thim@thimremy.com