Deux psys de Psy.link

Linda et Pierluigi présentent dans cet épisode le Protocole Unifié de Traitement des Troubles Émotionnels, également connu sous le nom de protocole de Barlow. Ce protocole a été largement étudié et peut être utilisé pour traiter de nombreux troubles tels que l'anxiété, la dépression, le syndrome de stress post-traumatique et le trouble borderline.L'intérêt du protocole et de pouvoir s'appuyer sur un traitement commun pour tous les troubles pour soigner la plupart de patient puisqu'il peut être appliqué à diverses populations, y compris les adultes, les adolescents et les enfants, en présentiel et à distance.Le protocole de Barlow est transdiagnostique car il cible les mécanismes sous-jacents aux troubles émotionnels, notamment l'aversion aux émotions et l'inflexibilité cognitive. Il vise à modifier les stratégies inefficaces de gestion des émotions indésirables et à aider les patients à développer de nouvelles stratégies pour réguler les émotions de manière plus saine. Le protocole est présenté comme un parcours pédagogique au patient et vise à lui donner les compétences nécessaires afin que celui-ci puisse devenir autonome et son propre thérapeute. Le protocole est organisé en étapes chacune permettant de gagner en compétences afin d'avoir une compréhension approfondie des expériences émotionnelles. La durée moyenne d'un parcours de protocole est d'environ 15 séances.Le protocole se termine par des exercices d'exposition diverses et progressives afin de consolider le changement chez le patient. Le protocole de Barlow est constitué de nombreux documents et fiches patients qui permettent d'organiser les accompagnements. Des questionnaires sont fournis pour suivre l'évolution du patient. Psy.link Formations proposent une formation en e-learning pour les professionnels de la santé mentale souhaitant se former à ce protocole. https://formations.psy.link/formations/protocole-unifie-pour-le-traitement-transdiagnostique-des-troubles-emotionnelsCe podcast offre une présentation détaillée du Protocole Unifié de Traitement des Troubles Émotionnels, mettant en évidence son utilité et sa structure, ainsi que son objectif d'aider les patients à mieux gérer leurs émotions. En savoir plus https://www.psy.link/le-protocole-unifie-pour-le-traitement-transdiagnostique-des-troubles-emotionnels/Suivez-nous https://www.linkedin.com/company/psy-link-therapiehttps://www.facebook.com/psy.link.therapie/https://www.instagram.com/psy.link_

Dans cet épisode, Linda et Pierluigi abordent la prise de risque de l'adolescence. Ce phénomène s'observe dans toutes les cultures et société... Pourtant, souvent associée à l'engagement dans des comportements dangereux et socialement inacceptables, la prise de risque est susceptible d'entraîner des conséquences négatives sur la santé et dans la vie du jeune individu. Nous pensons notamment au tabagisme, à l’abus de l’alcool, aux rapports sexuels non protégés, bagarres, conduites automobiles à risque, pratique intense de sports etc...Cependant, la prise de risque est un comportement « nécessaire » pour évoluer et tous les comportement de prise de risque ne sont pas négatifs.  En s'engageant dans une prise de risque positive, les jeunes peuvent avoir la possibilité de développer un sens du but, la responsabilité personnelle, la compétence sociale et l'établissement d'objectifs.Suivez-nous https://www.instagram.com/psy.link_https://www.facebook.com/psy.link.therapie/https://www.linkedin.com/company/psy-link-therapieTéléchargez notre applicationhttps://www.psy.link/telecharger-lapplication-psy-link/

Les symptômes somatiques inexpliqués, dus au mécanisme inadapté de régulation appelé somatisation, poussent 20% de la patients à consulter le médecin généraliste. Maux de tête, mal au dos, fatigue et douleurs intestinales sont les plaintes typiques. Les examens médicaux ne permettent pas d’expliquer d’une manière satisfaisante les causes de ces douleurs et gênes.  Peu de patients connaissent le rôle des processus psychiques dans la construction de cette plainte. Et beaucoup de psychologues traitent les conséquences des plaintes somatiques comme l’anxiété et la dépression. Dans cet épisode nous parlons des facteurs psychologiques qui jouent un rôle dans le développement et le maintien des troubles somatoformes. Mauvais apprentissage de l’expression émotionnelle, intolérance des émotions négatives, bénéfices secondaires, conditionnement opérant, certains traits de personnalité et facteurs culturels constituent les principaux facteurs d’explication.  Suivez-nous https://www.linkedin.com/company/psy-link-therapiehttps://www.facebook.com/psy.link.therapie/https://www.instagram.com/psy.link_Téléchargez notre applicationhttps://www.psy.link/telecharger-lapplication-psy-link/

"Je mange sans faim", "Je n'arrive pas à me contrôler", "Je grignote quand je suis stressé.e" sont des phrases que nous entendons fréquemment en consultation avec des personne qui ont des difficultés à gérer leur alimentation. La faim est confondue avec les émotions et l'envie de manger. Dans ce podcast nous mettons l'accent sur les stimuli conditionnels qui déclenchent l'envie de manger en l'absence de faim physiologique. La personne cède à des envies de manger de petites quantités de nourriture. Elle utilise parfois des stratégies afin de minimiser cette consommation "compulsive" et "addictive" qui est très fréquente entre les repas.  La technique d'exposition aux stimuli conditionnels activateurs de l'envie de manger permet l'extinction de cette envie conditionnée, qui ne correspond pas à un besoin physiologique. Cette technique est fréquemment utilisée dans la prise en charge du TOC et des addictions.  Nous sommes disponibles sur la plateforme psy.link pour aider les patients qui souffrent de ces comportements de suralimentation.Suivez-noushttps://www.instagram.com/psy.link_/https://www.facebook.com/psy.link.therapie/https://twitter.com/Psylink_tcchttps://www.linkedin.com/company/psy-link-therapie

Dans cet épisode, Pierluigi et Linda parlent du coup de foudre amoureux et donnent des hypothèses issues d'études scientifiques. Ce phénomène existe-il vraiment? Et s'il était une pure invention de notre mental, issue de biais cognitifs? Une personne sur trois dit avoir déjà eu le coup de foudre. Faut-il qu'une relation débute par un coup de foudre pour être une bonne relation ou est-ce qu'une relation peut se construire progressivement sans cette phase passionnelle?Suivez-noushttps://www.facebook.com/psy.link.therapie/https://www.linkedin.com/company/psy-link-therapiehttps://www.instagram.com/psy.link_/

🎙Dans cet épisode, Pierluigi et Linda évoquent l'approche cognitive permettant à chacun de réfléchir sa propre consommation d'alcool à l'occasion du #dryjanuary. Mais, il n'y a pas que le mois de janvier pour se questionner sur ses propres habitudes et pensées. Notre système de croyances relatives à l'alcool joue un rôle important dans le maintient de nos habitudes d'alcoolisation. Mieux comprendre comment nos pensées interviennent dans la décision de consommer donne des pistes pour les discuter et les changer. Suivez-nous https://www.linkedin.com/company/psy-link-therapiehttps://www.facebook.com/psy.link.therapie/https://twitter.com/Psylink_tcchttps://www.instagram.com/psy.link_/A lire Pierluigi GrazianiSoigner les addictions par les TCC https://www.amazon.fr/gp/product/B00E6GB0FI/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p1_i2Comment arrêter l'alcool ?https://www.amazon.fr/gp/product/B00K02ID0W/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p1_i1Surmonter un problème avec l'alcoolhttps://www.amazon.fr/gp/product/B0154N94EK/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p1_i0

Dans cet épisode, Pierluigi et Linda, à l'occasion de #dryjanuary, parlent de l'alcool. En effet, le mois de janvier est un bon moment pour se questionner sur ses propres habitudes. Il peut être intéressant de faire une pause ou réfléchir à comment diminuer sa consommation. Pierluigi et Linda expliquent comment nos émotions et pensées interagissent avec la consommation. En prendre conscience est déjà une première étape importante.Suivez-nous https://www.linkedin.com/company/psy-link-therapiehttps://www.facebook.com/psy.link.therapie/https://twitter.com/Psylink_tcchttps://www.instagram.com/psy.link_/A lire Pierluigi GrazianiSoigner les addictions par les TCC https://www.amazon.fr/gp/product/B00E6GB0FI/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p1_i2Comment arrêter l'alcool ?https://www.amazon.fr/gp/product/B00K02ID0W/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p1_i1Surmonter un problème avec l'alcoolhttps://www.amazon.fr/gp/product/B0154N94EK/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p1_i0

Dans cet épisode, Pierluigi et Linda continuent de parler de biais cognitifs et comment les corriger.Nos pensées automatiques sont issues d'un système de traitement qui est rapide et automatique. Tellement rapide que souvent nos conclusions sont fausses! Par exemple, un collègue ne vous dit pas "bonjour", vous en faites la conclusion "personne ne m'aime"... Ce biais cognitif consiste à surgénéraliser et conclure à partir d'un seul élément. Le problème est que notre humeur se trouve affectée. La pensée automatique "personne ne m'aime" rend triste...Apprendre à corriger nos biais cognitifs implique de porter l'attention sur la manière dont nous raisonnons et de détecter les erreurs, puis les corriger. Cela demande un effort, mais les nouvelles pensées modifiées seront mémorisées.  Elles deviendront progressivement automatiques et modifierons durablement les suggestions rapides et automatiques dysfonctionnelles. Ainsi, le travail finit par porter ses fruits! En thérapie nous appelons cela "restructuration cognitive". Suivez-nous https://www.linkedin.com/company/psy-link-therapiehttps://www.facebook.com/psy.link.therapie/https://twitter.com/Psylink_tcchttps://www.instagram.com/psy.link_/