DEADLINE

J’ai un peu disparu ces derniers temps, pour la simple et bonne raison que je vis mon propre changement de vie en ce moment. C’est beaucoup de questions, de doutes, de nouvelles expériences. Je vous en parlerai prochainement, peut-être ♡deadline continue, et cette fois, on parle de la page blanche ✍️ : ce moment où l’on n’a plus d’inspiration, plus de motivation, ou simplement une remise en question de son art.Pour aborder ce sujet, c’est Axel Enderlin qui prend le micro de deadline. Lui qui a toujours créé et sorti des chansons depuis ses 15 ans a connu un moment de vide créatif, et il raconte comme il a fait face à ses insécurités pour pouvoir continuer à créer.https://www.instagram.com/deadline.podcast_/ 

Avec Chloé du Clocloclub, on a parlé organisation, temporalité dans la création, santé mentale et vision de nos podcasts respectifs ! À écouter en entier sur le podcast du Clocloclub https://smartlink.ausha.co/clocloclubN'hésitez pas à nous envoyer vos retours sur Instagram https://www.instagram.com/deadline.podcast_/Bonne écoute !

Dans la musique, on parle souvent du fait qu’on est plus ou moins tous et toutes multi-tâches, couteaux suisse. Et notre prochaine invitée n’en fait pas exception. Ana, je l’ai rencontré à un concert et c’est au cours de l’after qu’elle me raconte qu’avant d’être Silly Boy Blue, elle était journaliste. Cette histoire reste dans un coin de ma tête, et c’est 5 ans après notre première rencontre qu’elle se retrouve au micro de deadline pour partager avec vous son histoire.Dans cet épisode, on parle d’écouter son instinct, des passions qui crient plus fort que tout le reste, d’oser se lancer et de la série Friends.

En 2019, je rencontre Amandine Senges pendant que je fais un stage dans l’agence événementiel Dcontract. Les années passent, mais on reste en contact par la magie des réseaux, et je la vois devenir dj et productrice au fil du temps. Cette année, elle était à l’affiche du festival We love green sous son nom d’artiste “Ams”.Je l’ai retrouvé cet été, pour qu’elle me raconte comment elle est passée d’un métier de chef de projet en événementiel à artiste sur la scène d’un prestigieux festival. Ams nous parle de musique électronique, de cumuler des emplois, de la difficulté à être une femme dans la scène électronique.

“Il n’y a qu’en faisant, qu’on apprend” : si Corentin Cohignac devait choisir un mantra, ce serait sûrement celui-ci.Corentin, je l’ai rencontré sur l’émission Culturebox alors que je m’occupais de la promotion d’artistes. Lorsqu’on s’est rencontrés, j’ai tout de suite aimé son énergie, son calme et son optimisme. Un jour, il me raconte comment il est passé d’un quotidien où il vit au jour le jour à Marseille à programmateur de Culturebox et son histoire m’inspire.À force de rencontres, je m’en rends compte que beaucoup de personnes de l’industrie musicale on eu plusieurs vies, c’est la raison d’être du podcast : que ces histoires vous inspirent à votre tour.Dans cet épisode, on parle de do-it-yourself, de détermination, de comment faire son trou dans un milieu qu’on ne connaît pas du tout et dans lequel on a pas de contact.Vous écoutez le 4ème épisode de DEADLINE.

L’histoire d’Amaury Ranger, c’est l’histoire de la force du collectif. Le collectif qui motive, qui pousse à se dépasser et à partager.Amaury c’est celui qui fédère, qui réunit, et cette envie d’emmener les gens avec lui, il l’a gardé depuis sa rencontre avec le groupe François and the Atlas Mountains alors qu’il était encore au lycée, jusqu’à la création du Coconut festival et le lancement de Fortune management et éditions.Cet épisode parle de musique, de longues heures de van, de la création d’un festival local et de la transition entre : être un artiste et travailler en tant que professionnel de la musique.