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Dans la seringue

Se reconstruire à la maison des femmes de l’AP-HP à l’hôpital Bichat

Saison 2, Ep. 11

C’est un petit pavillon, à l’écart des grands bâtiments de l’hôpital Bichat – Claude-Bernard, dans le 18e arrondissement de Paris. On y entre malheureusement, jamais par hasard. La maison des femmes de l’hôpital Bichat a été inaugurée en novembre 2021, portée par le département médico universitaire de gynécologie périnatalité du groupe hospitalo-universitaire AP-HP . Nord-Université Paris Cité. Une maison « cousine » des autres maisons des femmes ouvertes par l’AP-HP, à La Pitié-Salpêtrière, à l’Hôtel-Dieu et l’hôpital Bicêtre, dans une volonté d’améliorer le parcours et la prise en charge des femmes victimes de violence conjugales, sexuelles et psychologiques.


Chaque année, elle sont environ 350 à être accueillies ici en consultation.


Alors, pour lutter contre ce qui semble être une fatalité, dans « cette maison un peu particulière », les femmes majeures peuvent trouver les ressources nécessaires, sur les plans social, juridique, sanitaire, judiciaire.. mais surtout humain, pour tenter de se reconstruire.


L’accompagnement y est global, continu, et la « confiance » règne en maître mot pour permettre une « alliance thérapeutique » efficiente.


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  • 10. Accompagner les enfants polyhandicapés à l’hôpital San Salvadour AP-HP

    23:21
    Le polyhandicap associe une déficience motrice à une déficience intellectuelle, sévère ou profonde, et peut toucher aussi bien les enfants que les adultes. Il peut être lié à des causes génétiques, périnatales ou être la conséquence d’une pathologie contractée après la naissance, et impacter les capacités d’autonomie et d’expression des personnes atteintes. Il nécessite un accompagnement pluridisciplinaire.L’hôpital San Salvadour AP-HP, spécialisé dans la prise en charge médicale et paramédicale du polyhandicap, est l’un des 4 établissements de l’AP-HP hors Île-de-France. Ses équipes ont su développer un savoir-faire reconnu pour assurer à ces patients, pour la plupart d’entre eux en séjours de longue durée, une prise en charge adaptée.A Hyères, dans le Var, plongez au cœur de l’unité PARROT, qui accueille actuellement une dizaine de patients âgés de 3 mois à 12 ans.
  • 9. Affronter et soigner l’obésité à l’hôpital Pitié-Salpêtrière AP-HP

    22:46
    Aujourd’hui, 17% des Français sont en situation d’obésité et jusqu’à 6% en obésité sévère. Le service de nutrition de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière s’est spécialisé dans la prise en charge des obésités sévères et de leurs multiples complications. Des parcours de soin sur-mesure sont proposés aux patients au cours duquel ils pourront rencontrer les différents professionnels d’une équipe multidisciplinaire spécialisée : médecins nutritionnistes, diététiciens, psychologues, enseignant en activité physique adaptée, infirmière de coordination… Le service comprend également un centre de référence pour les obésités de causes rares (génétiques). La prise en charge fait également appel, dans des indications précises, à la chirurgie bariatrique, réalisée dans le service de chirurgie digestive de la Pitié-Salpêtrière et utilisant des technologies de pointe (robot).
  • 8. Innover au service des plus âgés à l’hôpital Emile-Roux AP-HP

    22:45
    Chacun de nous et de plus en plus, est à la recherche de bien-être. Mais avec l'allongement de la vie, nous avons de plus en plus de maladies chroniques, comme le surpoids, l'obésité, le diabète, la maladie d'Alzheimer, le cancer ou l'insuffisance cardiaque. Ces maladies expliquent 80 % de la mortalité dans nos sociétés occidentales. Alors est-ce que notre système de soins et ses acteurs se sont bien adaptés ? Comment les nouvelles technologies à disposition des professionnels ont-elles repensé la prise en charge des patients ? C'est ce que nous allons explorer dans ce nouvel épisode qui se passe dans le service de gériatrie de l'hôpital Emile Roux, à Limeil-Brévannes, dans le Val de Marne.
  • 7. Prendre soin des plus précaires à l’Hôtel-Dieu AP-HP

    18:47
    La Permanence d'Accès aux Soins de Santé de l'Hôtel-Dieu AP-HP accueille toute l'année, sans rendez-vous, des patients sans distinction de revenus ou d'origines, faisant face à des situations extrêmement complexes. Ce service propose un accompagnement global pluridisciplinaire aux personnes - souvent démunies - qui viennent consulter. Le Dr Hélène de Champs-Léger ouvre les portes de la PASS à la découverte de celles et ceux qui prennent soin des plus précaires.
  • 6. Vivre avec une addiction

    20:49
    Parmi le dédale de l’hôpital Paul-Brousse AP-HP à Villejuif se trouve le département de psychiatrie et d’addictologie. Ce centre, nommé Albatros d’après le poème de Baudelaire, est dirigé par le professeur Benyamina, professeur de psychiatrie-addictologie à la faculté de médecine Paris Saclay et chef du département de psychiatrie-addictologie. Les conduites addictives sont un problème de santé publique majeur en France. On estime qu’aujourd’hui 20% de la mortalité serait liée aux addictions. L’alcool notamment provoque un cancer sur six et présente un taux de mortalité comparable à celui du sida au moment où l’épidémie était à son pic. Ainsi, l’équipe pluridisciplinaire qui entoure le professeur Benyamina présente des compétences complémentaires permettant une prise en charge globale adaptée pour chaque patient selon son degré de dépendance et même son âge puisqu’un hôpital de jour spécifique accueille des adolescents et jeunes adultes entre 16 et 23 ans dans ce département aux milles services. 
  • 5. Réapprendre à apprendre à l’hôpital Pitié-Salpêtrière AP-HP

    20:57
    À quelques mètres de la station Chevaleret, dans le 13e arrondissement de Paris, se trouve le service de la psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent de la Pitié-Salpêtrière. Ce dernier constitue le plus grand site hospitalo-universitaire de la discipline en France depuis les années 20 avec une soixantaine de lits d’hospitalisation temps plein, près de 40 places en hôpital de jour, une école conventionnée par l’éducation nationale et même une unité de recherche en robotique éducative. 
  • 4. Apaiser les esprits troublés par les traumas à l’hôpital Avicenne AP-HP

    29:50
    Au nord-est de Paris, le tramway nous entraîne jusqu’à l’hôpital Avicenne - APHP situé à Bobigny, en Seine-Saint-Denis. C’est là, à quelques mètres de l’entrée principale que se trouve le Centre régional du psycho traumatisme Paris-Nord, et plus particulièrement le service de psychopathologie du professeur Thierry Baubet. On y accompagne notamment les personnes ayant vécu des situations traumatiques, dès leur plus jeune âge, des personnes réfugiées, ou encore des victimes des attentats de novembre 2015.
  • 3. De battre mon cœur n'a cessé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière AP-HP

    22:11
     A quelques mètres de la sortie du métro Chevaleret se dresse le bâtiment de Cardiologie de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière AP-HP. Construit dans les années 2000 il est aujourd’hui un des plus grands centre de cardiologie d’Ile-de-France avec plus de 25 000 consultations par an.250 personnes y travaillent chaque jour de la simple consultation à l’unité de soins intensifs tout y est organisé, condensé pour réparer le cœur avec l’efficacité que permettent les technologies de pointe. L’Assistance Publique - Hôpitaux de Paris présente Dans la seringue . Une collection de podcasts originaux qui permet de mieux connaitre les maladies et leur prise en charge.