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cover art for Episode 5, Sylvie et Anne Peres : Alaena ou la beauté du geste (version française)

C'est pas du luxe

Episode 5, Sylvie et Anne Peres : Alaena ou la beauté du geste (version française)

Saison 1, Ep. 5

Depuis ses débuts en 2017, la marque de cosméceutique bio Alaena s’est fixée une double mission : débarrasser les produits de soin de la peau des dérivés de pétrochimie, et sensibiliser au passage à la protection de la planète.

Si vous vous souciez de ce que vous mettez dans votre estomac, vous devriez aussi vous préoccuper de ce que vous mettez sur votre peau. Ce n’est pas nous, mais le Dr Sylvie Peres qui le dit. Dermatologue à Biarritz, elle décide il y a quatre ans de s’associer à sa fille Anne pour lancer une gamme de produits de soin à base d’actifs naturels, après des années passées à développer elle-même des compositions afin de ne plus avoir à recommander à ses patients des produits soupçonnés de toxicité. Aujourd’hui, la marque fabrique crèmes, sérums, masques et peelings à base de graines germées, de glycérine végétale et de conservateurs naturels, les commercialise dans des pots en verre et les emballe dans des matières recyclables, afin de pousser le plus loin possible sa démarche de « respect des hommes et de la planète ».

 

More episodes

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  • 16. Episode 16, diamonds are Héloïse Schapiro's best friends. (English version)

    22:15
    After almost ten years spent working for the greatest jewelry houses of the Place Vendôme in Paris, Héloïse Schapiro decided in 2019 to launch Héloïse & Abélard : a jewelry brand that designs rings and necklaces out of recycled diamonds only.What if, instead of constantly looking for new gemstones to mine out of the depths of the Earth, we focused on using those that have already been extracted? That is, in short, the mission that Héloïse Schapiro set for herself a little over two years ago, inspired by the century-old tradition of dismantling and reassembling jewelry pieces, and determined to revive our emotional relationship with diamonds. Today, Héloïse & Abélard – her company, named after the legendary medieval love story between a teacher and his student in 12th century Paris – offers its customers two types of services: on the one hand, bringing old family stones up to date. On the other hand, creating original pieces out of recycled stones which she is constantly on the lookout for. The end goal: to ensure that all diamonds get worn, and thus way spare the planet a particularly polluting extraction process.
  • 16. Episode 16, Héloïse Schapiro, pimpeuse de diamants. (Version française)

    22:01
    Après une dizaine d’années passées chez les plus grands joailliers de la Place Vendôme, Héloïse Schapiro lançait il y a deux ans Héloïse & Abélard : une maison de joaillerie exclusivement consacrée à l’usage de diamants recyclés.Et si au lieu de partir à la recherche de nouvelles pierres précieuses au fin fond de la Terre, on se servait plutôt de celles qui ont déjà été extraites ? C’est en résumé la mission que s’est fixée Héloïse Schapiro il y a un peu plus de deux ans, inspirée par la tradition centenaire du démontage et remontage des pierres précieuses, et décidée à raviver notre rapport sensible aux diamants. Aujourd’hui, Héloïse & Abélard – le nom de son entreprise, ainsi baptisée en référence à la légendaire histoire d’amour médiévale entre un professeur et son étudiante dans le Paris du XIIème siècle – propose à ses clients deux types de service : d’une part, la remise au goût du jour de vieux bijoux de famille. D’autre part, la création de pièces originales à partir de pierres recyclées, qu’elle chine elle-même au quotidien. L’idée étant toujours la même : faire en sorte que les bijoux se transmettent à nouveau et au passage épargner à la planète un processus d’extraction particulièrement polluant. 
  • 15. Episode 15, welcome to the hotel Bellevillois with Joris Bruneel. (english version)

    21:53
    In September 2021, Joris Bruneel opened Babel, a hotel-restaurant with 31 rooms and 70 seats in the heart of Belleville, designed as a tribute to the cultural, economic and creative wealth of this Paris neighborhood where he has been living for eight years.Candied lamb gyozas, hot chocolate with a hint of zaatar, and around thirty rooms designed as so many invitations to travel… Launched a few months ago by Joris Bruneel, president of the MyHotels hotel group, and Franco-Afghan chef Clarie Fera-Akram, the Babel hotel thinks of both its cuisine and its decor (the work of French interior designer Daphné Desjeux) as a celebration of Belleville’s multiculturalism. Committed to making this new project of his an integral part of this northeastern Paris neighborhood life, Bruneel has been deploying at Babel a variety of initiatives in the hope to serve its inhabitants as well as its local economy: a menu filled with products coming from close-by shops, an employment policy that insists on recruiting workers that are either local and/or slowly reintegrating society, as well as a room made permanently available for emergency housing needs. 
  • 15. Episode 15, Joris Bruneel, welcome to the hôtel Bellevillois...(version française)

    20:26
    En septembre 2021, Joris Bruneel ouvrait Babel, un hôtel-restaurant de 31 chambres et 70 couverts au cœur de Belleville, pensé comme un hommage à la richesse culturelle, économique et créative de ce quartier de Paris où il habite depuis huit ans. De l’agneau confit sous forme de gyozas, du chocolat chaud aromatisé au zaatar, et une trentaine de chambres pensées comme autant d’invitations au voyage… Lancé il y a quelques mois par Joris Bruneel, président du groupe hôtelier MyHotels, avec la cheffe franco-afghane Clarie Feral-Akram, l’hôtel Babel se veut dans sa cuisine comme dans son allure, signée Daphné Desjeux, le reflet du multiculturalisme de l’endroit dans lequel il est installé. Mais pas que : attaché à faire du lieu un vrai moteur de l’économie locale, Joris Bruneel déploie depuis l’ouverture de Babel des initiatives visant à intégrer les habitants du quartier à son projet : carte garnie de produits locaux, emploi de travailleurs locaux et/ou en réinsertion, ou encore « chambre suspendue » mise à la disposition de personnes nécessitant un hébergement d’urgence.
  • 14. Episode 14, Mauro Colagreco : earth, wind and fire. (english version)

    20:15
    With the Mirazur, the restaurant he opened in 2006, and which was recently awarded the prestigious title of “best restaurant in the world”, the Argentinian chef hopes to revolutionize our relationship towards both food and nature.Around 150 species of plants (among which more than three dozen different varieties of tomatoes), biodynamically grown over five hectares of land irrigated with mountain spring water, and cared for according to the cycles of the Moon… In Menton, a stone’s throw from the Italian border, Mauro Colagreco oversees a gigantic garden that directly provides the kitchens of his three-Michelin-starred restaurant with fresh fruit, vegetables, herbs and edible flowers. The goal: to celebrate the beauty of the French region he has chosen to settle in, but also to encourage the consumption of local products, at a time when a majority of people living in cities mostly eat over-processed food, often imported from across the globe.
  • 14. Episode 14, Mauro Colagreco : côté four, et côté jardin. (version française)

    20:04
    Depuis la cuisine du Mirazur, son restaurant ouvert à Menton en 2006 et nommé il y a deux ans « meilleur restaurant au monde » le chef argentin espère révolutionner notre rapport à la nourriture et à la nature.150 espèces végétales réparties sur cinq hectares de terrain arrosé à l’eau de source de montagne, des variétés de tomates par dizaines, le tout géré en biodynamie et bichonné au rythme des cycles de la lune… À deux pas de la frontière italienne, Mauro Colagreco supervise à Menton un gigantesque jardin qui alimente directement en fruits, légumes, herbes aromatiques et fleurs comestibles les cuisines de son restaurant, triplement étoilé au guide Michelin. Le but : célébrer la beauté de la région où il a choisi de s’installer mais aussi et surtout encourager le plus possible un retour à la consommation de produits locaux, à une heure où la plupart des citadins se nourrissent en majorité de produits transformés, souvent venus du bout du monde.
  • 13. Episode 13, l'école buissonnière avec Carole Collet. (version française)

    25:27
    À Central Saint Martins, la prestigieuse institution londonienne, la chercheuse Carole Collet apprend aux futures générations de stylistes, d’architectes et de designers à intégrer la nature à leurs processus de création.Et si, après des siècles passés à l’exploiter, était enfin venu le temps de collaborer avec la planète ? D’apprendre de ses modes de fonctionnement plutôt que de s’acharner à la détruire ? Au Royaume-Uni, Carole Collet s’intéresse et sensibilise depuis plus de vingt ans aux applications écologiques du biodesign, une approche de la conception (d'objets, de lieux ou même de vêtements) qui s’inspire des systèmes existants dans la nature, mais également à la possibilité d’inclure du vivant dans notre vie de tous les jours. Comment ? En fabriquant des matières textiles à partir de champignons, en imaginant des plantes génétiquement modifiées dont les feuilles produiraient des fruits et dont les racines fabriqueraient de la dentelle, ou encore en inventant la boutique du futur, où des algues seraient chargées de la filtration de l’air.
  • 13. Episode 13: Carole Collet, Green thumbs up. (English Version)

    25:34
    At the prestigious Central Saint Martins College of Arts and Design in London, researcher Carole Collet is teaching future generations of stylists, architects and designers how to integrate nature into their creative processes.What if, after centuries of mindlessly exploiting it, the time had finally come to collaborate with the planet? To learn from the ways our environment works rather than commit to destroying it? For the past twenty years, Carole Collet has been studying and raising awareness about the ecological applications of biodesign – an approach to the creation of objects, clothing or even spaces that takes inspiration from what already exists in nature –, and working towards the inclusion of living organisms in our everyday life. How? By making textiles out of fungi, designing a futuristic luxury boutique where algae acts as an air filter, or even imagining genetically-modified plants able to produce fruit as well as lace.
  • 12. Episode 12 : Ester Manas is making fashion big again (English version)

    22:00
    Led by a creative duo who met at La Cambre, a visual arts school in Brussels, Franco-Belgian fashion label Ester Manas is fighting a double battle to make the fashion industry more inclusive and less harmful to the environment.  When an item is presented as “one size fits all”, do you find it hard to believe that it’ll suit anyone beyond a size 8? You’re probably right. Tired of not seeing bodies like hers cared for or even represented in the fashion world, French designer Ester Manas decided a few years ago to launch her own clothing brand with Balthazar Delepierre, whom she met during her time in school. The idea: dresses, skirts, tops and coats that are truly inclusive of all bodies since they manage, thanks to an ingenious use of stretchy materials, laces and buttonholes, to dress women ranging from 0 to a 20, without having to make any size distinctions. A victory for customers as well as the environment: when items of clothing can accompany variations in weight so easily, or even be swapped between friends with different body types, then they no longer need to be purchased in triplicate.