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Les podcasts Sonique
Une étoile rouge ne meurt jamais - TEASER
Saint-Ouen (93), ancienne “banlieue rouge” du nord de Paris, est aussi le berceau du 2ᵉ plus vieux club de football de France : le Red Star. Un club historique, ouvrier et ancré dans un territoire d’immigration. À travers le Red Star, Une étoile rouge ne meurt jamais raconte une histoire du football populaire.
Une exploration sensible et documentaire qui interroge sur sa possible persistance dans un monde dominé par le foot business mondialisé. Alors que le Red Star monte en Ligue 2, et qu'il vient d'être racheté par le fonds d'investissement américain 777 Partners, c’est l’occasion de se demander : comment viser le sommet en préservant l’identité populaire du club ? D'ailleurs, c'est quoi un club de foot populaire ? Une histoire du Red Star en 4 épisodes racontée et chantée par le rappeur audonien Tuco Gadamn.
Un podcast Sonique écrit par Nicolas Bigards, Niki Demiller et Christophe Payet
Raconté par Tuco Gadamn
Musique originale : Niki Demiller et Tuco Gadamn
Direction éditoriale et production déléguée : Christophe Payet
Consultants : Leslie Menahem, Jean-Baptiste Cornette et Mourtar Diallo
Prise de son : Allan Houdayer, Emmanuel de Miscault et Christophe Payet
Coproduction : studio Sonique, Zebrock, Le Moment, Cie En Passant-Nicolas Bigards
Production exécutive : studio Sonique
Podcast soutenu par le Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis et la Ville de Paris dans le cadre de l’Olympiade Culturelle des JO Paris 2024.
Musique :
Composition, arrangement et orchestration : Niki Demiller
Voix et textes : Tuco Gadamn
Violons : Rémi Foucard, Mathilde Vrech
Alto : Anne Berry
Violoncelle : Octavio Angarita
Mixage : Alex Viudes
Prise et mixage : Marius Duflot au Studio Nocturnes
Régie : Victor Peynichou
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4. Une étoile rouge ne meurt jamais - 4/4 - Une étoile peut-elle mourir ?
35:15||Saison 3, Ep. 4Saint-Ouen (93), ancienne “banlieue rouge” du nord de Paris, est aussi le berceau du 2ᵉ plus vieux club de football de France : le Red Star. Un club historique, ouvrier et ancré dans un territoire d’immigration. À travers le Red Star, Une étoile rouge ne meurt jamais raconte une histoire du football populaire.Une exploration sensible et documentaire qui interroge sur sa possible persistance dans un monde dominé par le foot business mondialisé. Alors que le Red Star monte en Ligue 2, et qu'il vient d'être racheté par le fonds d'investissement américain 777 Partners, c’est l’occasion de se demander : comment viser le sommet en préservant l’identité populaire du club ? D'ailleurs, c'est quoi un club de foot populaire ? Une histoire du Red Star en 4 épisodes racontée et chantée par le rappeur audonien Tuco Gadamn.Le Red Star c’est 5 coupes de France, des joueurs mythiques, un passé glorieux et un retour en Ligue 2 l'année prochaine. Mais à l’heure du foot business, comment viser l'élite tout en préservant l'identité populaire d'un club aussi unique ? Comment rester le Red Star quand on est racheté par un fonds d'investissement basé à Miami ? La multipropriété des clubs est-elle le nouveau fer de lance de la financiarisation du foot ? Et existe-t-il des alternatives pour préserver l'âme de l'étoile rouge ? Un podcast Sonique écrit par Nicolas Bigards, Niki Demiller et Christophe PayetRaconté par Tuco GadamnMusique originale : Niki Demiller et Tuco GadamnDirection éditoriale et production déléguée : Christophe PayetConsultants : Leslie Menahem, Jean-Baptiste Cornette et Mourtar DialloPrise de son : Allan Houdayer, Emmanuel de Miscault et Christophe PayetCoproduction : studio Sonique, Zebrock, Le Moment, Cie En Passant-Nicolas BigardsProduction exécutive : studio SoniquePodcast soutenu par le Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis et la Ville de Paris dans le cadre de l’Olympiade Culturelle des JO Paris 2024.Musique :Composition, arrangement et orchestration : Niki DemillerVoix et textes : Tuco GadamnViolons : Rémi Foucard, Mathilde VrechAlto : Anne BerryVioloncelle : Octavio AngaritaMixage : Alex ViudesPrise et mixage : Marius Duflot au Studio NocturnesRégie : Victor Peynichou3. Une étoile rouge ne meurt jamais - 3/4 - Le Red Star c'est plus que du foot
29:56||Saison 3, Ep. 3Saint-Ouen (93), ancienne “banlieue rouge” du nord de Paris, est aussi le berceau du 2ᵉ plus vieux club de football de France : le Red Star. Un club historique, ouvrier et ancré dans un territoire d’immigration. À travers le Red Star, Une étoile rouge ne meurt jamais raconte une histoire du football populaire.Une exploration sensible et documentaire qui interroge sur sa possible persistance dans un monde dominé par le foot business mondialisé. Alors que le Red Star monte en Ligue 2, et qu'il vient d'être racheté par le fonds d'investissement américain 777 Partners, c’est l’occasion de se demander : comment viser le sommet en préservant l’identité populaire du club ? D'ailleurs, c'est quoi un club de foot populaire ? Une histoire du Red Star en 4 épisodes racontée et chantée par le rappeur audonien Tuco Gadamn.Le Red Star, c'est aussi une grande famille, en tribune, sur le terrain, comme dans l'asso sportive. Mais c'est aussi une exigence d'éducation populaire, au-delà du ballon rond. Un héritage qui date de son fondateur, Jules Rimet, et qui se perpétue aujourd'hui avec les ateliers du Red Star Lab. Parce qu'être un club populaire, c'est être acteur de l'émancipation.Un podcast Sonique écrit par Nicolas Bigards, Niki Demiller et Christophe PayetRaconté par Tuco GadamnMusique originale : Niki Demiller et Tuco GadamnDirection éditoriale et production déléguée : Christophe PayetConsultants : Leslie Menahem, Jean-Baptiste Cornette et Mourtar DialloPrise de son : Allan Houdayer, Emmanuel de Miscault et Christophe PayetCoproduction : studio Sonique, Zebrock, Le Moment, Cie En Passant-Nicolas BigardsProduction exécutive : studio SoniquePodcast soutenu par le Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis et la Ville de Paris dans le cadre de l’Olympiade Culturelle des JO Paris 2024.Musique :Composition, arrangement et orchestration : Niki DemillerVoix et textes : Tuco GadamnViolons : Rémi Foucard, Mathilde VrechAlto : Anne BerryVioloncelle : Octavio AngaritaMixage : Alex ViudesPrise et mixage : Marius Duflot au Studio NocturnesRégie : Victor Peynichou2. Une étoile rouge ne meurt jamais - 2/4 - La ferveur de Rino
34:40||Saison 3, Ep. 2Saint-Ouen (93), ancienne “banlieue rouge” du nord de Paris, est aussi le berceau du 2ᵉ plus vieux club de football de France : le Red Star. Un club historique, ouvrier et ancré dans un territoire d’immigration. À travers le Red Star, Une étoile rouge ne meurt jamais raconte une histoire du football populaire.Une exploration sensible et documentaire qui interroge sur sa possible persistance dans un monde dominé par le foot business mondialisé. Alors que le Red Star monte en Ligue 2, et qu'il vient d'être racheté par le fonds d'investissement américain 777 Partners, c’est l’occasion de se demander : comment viser le sommet en préservant l’identité populaire du club ? D'ailleurs, c'est quoi un club de foot populaire ? Une histoire du Red Star en 4 épisodes racontée et chantée par le rappeur audonien Tuco Gadamn.Un club populaire, c'est son stade, mais ce sont aussi ses tribunes. Le 12ᵉ homme à Bauer c’est Rino. Rino Della Negra, résistant du groupe Manouchian et ancien joueur du Red Star. Son nom est porté par la tribune des supporters, le kop. Bien plus qu’un nom, c’est un symbole de la ferveur des ultras du Red Star : une ferveur sportive, mais aussi politique, bien ancrée à gauche.Un podcast Sonique écrit par Nicolas Bigards, Niki Demiller et Christophe PayetRaconté par Tuco GadamnMusique originale : Niki Demiller et Tuco GadamnDirection éditoriale et production déléguée : Christophe PayetConsultants : Leslie Menahem, Jean-Baptiste Cornette et Mourtar DialloPrise de son : Allan Houdayer, Emmanuel de Miscault et Christophe PayetCoproduction : studio Sonique, Zebrock, Le Moment, Cie En Passant-Nicolas BigardsProduction exécutive : studio SoniquePodcast soutenu par le Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis et la Ville de Paris dans le cadre de l’Olympiade Culturelle des JO Paris 2024.Musique :Composition, arrangement et orchestration : Niki DemillerVoix et textes : Tuco GadamnViolons : Rémi Foucard, Mathilde VrechAlto : Anne BerryVioloncelle : Octavio AngaritaMixage : Alex ViudesPrise et mixage : Marius Duflot au Studio NocturnesRégie : Victor Peynichou1. Une étoile rouge ne meurt jamais - 1/4 - Il n'y a que Bauer
32:23||Saison 3, Ep. 1Saint-Ouen (93), ancienne “banlieue rouge” du nord de Paris, est aussi le berceau du 2ᵉ plus vieux club de football de France : le Red Star. Un club historique, ouvrier et ancré dans un territoire d’immigration. À travers le Red Star, Une étoile rouge ne meurt jamais raconte une histoire du football populaire.Une exploration sensible et documentaire qui interroge sur sa possible persistance dans un monde dominé par le foot business mondialisé. Alors que le Red Star monte en Ligue 2, et qu'il vient d'être racheté par le fonds d'investissement américain 777 Partners, c’est l’occasion de se demander : comment viser le sommet en préservant l’identité populaire du club ? D'ailleurs, c'est quoi un club de foot populaire ? Une histoire du Red Star en 4 épisodes racontée et chantée par le rappeur audonien Tuco Gadamn.Le premier personnage de notre histoire populaire du Red Star, c'est bien sûr son mythique Stade Bauer. Un stade "à l'anglaise" au cœur des quartiers populaires, aujourd'hui en rénovation. Un lieu chargé d'histoire, qui incarne à lui seul la transformation de la banlieue parisienne et le Grand Paris.Un podcast Sonique écrit par Nicolas Bigards, Niki Demiller et Christophe PayetRaconté par Tuco GadamnMusique originale : Niki Demiller et Tuco GadamnDirection éditoriale et production déléguée : Christophe PayetConsultants : Leslie Menahem, Jean-Baptiste Cornette et Mourtar DialloPrise de son : Allan Houdayer, Emmanuel de Miscault et Christophe PayetCoproduction : studio Sonique, Zebrock, Le Moment, Cie En Passant-Nicolas BigardsProduction exécutive : studio SoniquePodcast soutenu par le Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis et la Ville de Paris dans le cadre de l’Olympiade Culturelle des JO Paris 2024.Musique :Composition, arrangement et orchestration : Niki DemillerVoix et textes : Tuco GadamnViolons : Rémi Foucard, Mathilde VrechAlto : Anne BerryVioloncelle : Octavio AngaritaMixage : Alex ViudesPrise et mixage : Marius Duflot au Studio NocturnesRégie : Victor Peynichou8. Adieu la France - 8/8 - Lisboa, meu amor
13:45||Saison 2, Ep. 8Lisboa meu amor, partie 2.Entrepreneuse et mère de famille, Célia Pinheiro est tombée amoureuse de Lisbonne à l’âge de 24 ans. Ses parents avaient quitté la campagne portugaise sous la dictature de Salazar pour aller travailler en banlieue de Paris, mais elle a choisi de revenir au Portugal, dans cette petite capitale dont elle ignorait tout. Elle y a réalisé ses rêves : avoir des enfants et ouvrir un restaurant avec son mari…“La France, tu l’aimes ou tu la quittes” ont dit successivement Sarko, Le Pen, Zemmour.… Eux, ils l’ont quittée. Et pourtant certains l’aiment encore, et tous y ont grandi. Leurs parents s’y sont installés dans les années 1960 ou 1970 en espérant une vie meilleure pour leurs enfants. Et ces enfants ont finalement fait le chemin dans l’autre sens. Adieu la France raconte quatre parcours de cultures croisées à rebrousse-chemin. Qu’est-ce qui peut motiver à se dire : ce pays dans lequel j'ai grandi, la France, n’est pas celui dans lequel je veux vivre ni élever mes enfants ? David Commeillas est allé rencontrer celles et ceux qui ont quitté la France, loin dans leur nouvelle vie, pour essayer de comprendre leur trajectoire individuelle et leur histoire familiale. Ces histoires d’immigrations et de remigrations qui, aujourd’hui, font indéniablement partie de l’histoire de France.Un podcast de David Commeillas pour SoniqueEnregistré avec Célia Pinheiro à Lisbonne en avril 2021Habillage et mixage Malo WiliamsMusiques originales Samuel HirshDirecteur éditorial : Christophe PayetJao Paulo Esteves Da Silva : « Fado »7. Adieu la France - 7/8 - Lisboa, meu amor
20:10||Saison 2, Ep. 7Lisboa, meu amor, partie 1.Dans les années 1970, près de 200 000 personnes ont fui la dictature de Salazar pour s'installer en France. Parmi eux, Marilia et Luis Pinheiro, venus en train de leur village rural du nord Portugal pour s'installer dans l'Essonne, en région parisienne. Ils racontent des décennies de labeur, dans une France qu’ils continuent d’aimer comme leur second pays. Ils auraient préféré que leur fille y reste pour mieux gagner sa vie. Mais Célia choisit de s’installer à Lisbonne, par envie de profiter de la vie, mais surtout par amour…“La France, tu l’aimes ou tu la quittes” ont dit successivement Sarko, Le Pen, Zemmour.… Eux, ils l’ont quittée. Et pourtant certains l’aiment encore, et tous y ont grandi. Leurs parents s’y sont installés dans les années 1960 ou 1970 en espérant une vie meilleure pour leurs enfants. Et ces enfants ont finalement fait le chemin dans l’autre sens. Adieu la France raconte quatre parcours de cultures croisées à rebrousse-chemin. Qu’est-ce qui peut motiver à se dire : ce pays dans lequel j'ai grandi, la France, n’est pas celui dans lequel je veux vivre ni élever mes enfants ? David Commeillas est allé rencontrer celles et ceux qui ont quitté la France, loin dans leur nouvelle vie, pour essayer de comprendre leur trajectoire individuelle et leur histoire familiale. Ces histoires d’immigrations et de remigrations qui, aujourd’hui, font indéniablement partie de l’histoire de France.Un podcast de David Commeillas pour SoniqueEnregistré avec Célia Pinheiro à Lisbonne, Marilia et Luis Pinheiro à Alfandega da Fé en avril 2021Habillage et mixage Malo WiliamsMusiques originales Samuel HirshDirecteur éditorial : Christophe PayetSamuel Hirsh : « Kairouan » Nicolas Repac : « All Ready » (No Format)Samuel Hirsh : « Issa »6. Adieu la France - 6/8 - Istanbul dévoilée
16:38||Saison 2, Ep. 6Istanbul dévoilée, partie 2.David Commeillas fait la rencontre d’Ayse Gûl. Chercheuse diplômée en France, Ayse s’est installée en Turquie pour étudier le soufisme des derviches tourneurs. Après deux décennies de marathon administratif, elle renonce à obtenir la nationalité française, préférant revendiquer plus fort ses origines. Elle assimile son identité turque à l’islam et décide de se voiler. À Istanbul, elle va découvrir un autre monde, adopter une nouvelle façon de vivre et subir une autre vision de sa religion…“La France, tu l’aimes ou tu la quittes” ont dit successivement Sarko, Le Pen, Zemmour.… Eux, ils l’ont quittée. Et pourtant certains l’aiment encore, et tous y ont grandi. Leurs parents s’y sont installés dans les années 1960 ou 1970 en espérant une vie meilleure pour leurs enfants. Et ces enfants ont finalement fait le chemin dans l’autre sens. Adieu la France raconte quatre parcours de cultures croisées à rebrousse-chemin. Qu’est-ce qui peut motiver à se dire : ce pays dans lequel j'ai grandi, la France, n’est pas celui dans lequel je veux vivre ni élever mes enfants ? David Commeillas est allé rencontrer celles et ceux qui ont quitté la France, loin dans leur nouvelle vie, pour essayer de comprendre leur trajectoire individuelle et leur histoire familiale. Ces histoires d’immigrations et de remigrations qui, aujourd’hui, font indéniablement partie de l’histoire de France.Istanbul dévoilée - Partie 2Un podcast de David Commeillas pour SoniqueEnregistré avec Ayse Gûl à Istanbul en janvier 2022Habillage et mixage Malo WiliamsMusiques originales Samuel HirshDirecteur éditorial : Christophe PayetCasting et prises additionnelles par Cintia Ferreira MartinsBaBa ZuLa : « Cecom » (Soundhorus - Tüm Hakları Saklıdır) Samuel Hirsch : « Fin »5. Adieu la France - 5/8 - Istanbul dévoilée
15:09||Saison 2, Ep. 5Istanbul dévoilée, partie 1.David Commeillas rencontre Ayse Gûl. Elle nous partage son combat pour obtenir la nationalité française, sa relation avec sa turcité, ainsi que son choix de porter le voile à Paris, puis de l'enlever des années plus tard à Istanbul.Bien que la communauté turque compte 700 000 personnes en France, elle est assez méconnue. Selon l’OID (Observatoire de l'immigration et de la démographie en France), c’est la communauté qui maitrise le moins bien la langue française, qui se marie le moins avec des non-Turcs. C’est pour cette raison que l’on connaît mal les Turcs de France. Pourtant, Ayse a une histoire captivante à raconter, depuis l'arrivée de son père à Paris dans les années 1970 jusqu'à sa vie actuelle à Istanbul.“La France, tu l’aimes ou tu la quittes” ont dit successivement Sarko, Le Pen, Zemmour... Eux, ils l’ont quittée. Et pourtant certains l’aiment encore, et tous y ont grandi. Leurs parents s’y sont installés dans les années 1960 ou 1970 en espérant une vie meilleure pour leurs enfants. Et ces enfants ont finalement fait le chemin dans l’autre sens. Adieu la France raconte quatre parcours de cultures croisées à rebrousse-chemin. Qu’est-ce qui peut motiver à se dire : ce pays dans lequel j'ai grandi, la France, n’est pas celui dans lequel je veux vivre ni élever mes enfants ? David Commeillas est allé rencontrer celles et ceux qui ont quitté la France, loin dans leur nouvelle vie, pour essayer de comprendre leur trajectoire individuelle et leur histoire familiale. Ces histoires d’immigrations et de remigrations qui, aujourd’hui, font indéniablement partie de l’histoire de France.Istanbul dévoilée - partie 1.Un podcast de David Commeillas pour SoniqueEnregistré avec Ayse Gûl à Istanbul en janvier 2022Chant et Bendir par Sezai RedifogluHabillage et mixage Malo WiliamsMusiques originales Samuel HirshDirecteur éditorial : Christophe PayetCasting et prises additionnelles par Cintia Ferreira MartinsExtrait du feuilleton « Cesur ve Güzel 26 »Extrait de la vidéo « Un petit enfant turque qui récite un morceau du Saint Coran » Hymne de la Turquie - Istiklâl Marsi