Brise Glace

«Brise Glace», le podcast du Temps qui s'intéresse à tout ce qu'on n'ose ni dire ni demander, est de retour pour une septième saison. Dès le 7 novembre, Virginie Nussbaum et Célia Héron vous proposent de replonger tête la première dans tous ces sujets qu’on évite soigneusement lors des conversations polies.En attendant, découvrez – si vous ne les connaissez pas déjà – le podcast politique du Temps, «Sous la Coupole», et notre podcast consacré aux enjeux de l’intelligence artificielle générative, «IA qu’a m’expliquer» sur toutes les plateformes d’écoutes. Sur son app et son site, Le Temps dispose désormais également d’un onglet «Articles audio» – certains articles lus par nos journalistes, d’autres, par des voix d’intelligence artificielle – une fonctionnalité qui vous permettra d’écouter votre journal, où que vous soyez.Last but not least: du 11 au 15 octobre, profitez de - 50 % sur nos abonnements en ligne sur letemps.ch/abonnement! Pour aller plus loin:https://www.letemps.ch/podcasts/ia-qu-a-m-expliquerhttps://www.letemps.ch/podcasts/sous-la-coupolehttps://www.letemps.ch/articles-audio

Le 20 mars 2023, Le Temps a ouvert ses portes à toutes celles et ceux qui étaient curieux d’en savoir plus sur le fonctionnement d’une rédaction. L’occasion aussi pour nos visiteurs de s'asseoir face au micro de Brise Glace et nous poser leurs questions sur ce podcast né en 2018.

Leur histoire a commencé comme un roman: archéologue fribourgeoise, Marie rencontre son futur mari sous le soleil de Rome. Nœud du récit: elle a 25 ans... lui 52. Peu à peu, des liens se tissent. Mais comment construire une relation sur ce fossé de générations? Dans ce dernier épisode de la saison 3, Marie, 59 ans aujourd'hui, raconte un amour qui certes a un âge - et malgré tout, dure toujours.

De quoi hérite-t-on vraiment à la mort d’un parent? Leïla, trentenaire romande, est enfant unique. Lorsque son père décède dans son pays d’origine, au Moyen-Orient, elle doit faire face au deuil, puis, très vite, à ses responsabilités: ce dernier lui lègue une entreprise d’envergure internationale, des villas et des comptes en banque contenant plusieurs dizaines de millions d’euros. Commence alors une double vie: l’une en Suisse, où elle évolue dans la classe moyenne, et l’autre dans le pays de son père, où les employés de maison l’appellent «Madame Leïla». 

Nicolas, trentenaire valaisan, a décidé d’explorer avec sa conjointe les alternatives au «modèle» de couple hétérosexuel exclusif. De clubs libertins en «cafés polyamour», leur histoire est celle d’une relation en chantier perpétuel, loin des diktats et pleine de défis.

Dans la vie, Louise, 24 ans, se consacre à la sociologie, à l'histoire du cinéma... et au travail du sexe. Un profil qui (d)étonne, clashant avec l'image qu'on peut avoir du milieu. Mais, la Vaudoise l'explique, cette activité lui est venue naturellement: tout a commencé par un profil sur un site de «sugar dating» pour se faire quelques sous. La suite? Une affaire d'intuition et de consentement.

Fille de bonne famille à Genève, Myriam est tout juste majeure lorsqu'elle quitte la maison pour rejoindre une communauté de jeunes religieux. Mais peu à peu le groupe referme ses griffes sur elle, le gourou contrôlant ses moindres pensées, ses moindres gestes. Jusqu'à exiger d'elle l'impensable. Des décennies plus tard, Myriam raconte les mécaniques perverses de l'endoctrinement – comment les détecter, et comment s'en libérer.

Se retrouver complètement nu devant des inconnus: un cauchemar? Un hobby, pour Romain. Depuis 20 ans, cet entrepreneur genevois fait partie d'une association naturiste, c'est-à-dire qui pratique le plaisir de se dévêtir en nature. Dans ce dernier épisode de la saison 6, Romain raconte cette philosophie et ses règles, loin des clichés érotiques qu'on s'en fait. Et comment la pudeur a laissé place à la liberté.