AU LONG

Hors-série : Forbidden Stories et Society s’associent pour un numéro spécial. Dans cet épisode Emmanuelle Andreani (co-rédactrice en chef de Society) et Laurent Richard (fondateur de Forbidden Stories) vous racontent les coulisses de la fabrication de ce magazine dont l’objectif est de faire vivre les histoires que d’autres ont voulu faire taire. Comment et pourquoi se montent de telles enquêtes ? Chaque enquête de ce numéro poursuit le travail de reporters assassinés, emprisonnés ou menacés qui ont payé le prix fort pour révéler des faits d’intérêt général. De la désinformation russe en Centrafrique au ciblage de journalistes à Gaza par l'armée israélienne ; des crimes environnementaux au Guatemala aux gangs en Haïti ; des centres de tortures russes secrets en Ukraine et en Russie jusqu'aux révélations sur le logiciel espion Pegasus, ce hors-série donne vie à des récits puissants, menés au péril de la vie des journalistes qui les ont initiés.Pour soutenir ce hors-série et la presse indépendante rendez-vous en kiosque le 11 décembre. Précommande disponible sur Ulule (https://fr.ulule.com/society-x-forbidden-stories/?utm_campaign=presale_221319&utm_source=shared-from-Ulule-project-page-on---http.referer--).Journaliste : Noémie Pennacino Réalisation : Juliette Martin et Sulivan ClabautProduction : All Sound et Society

Dans les appartements, dans les clubs et même dans les manifs: son tube Kongolese sous BBL tourne partout, promettant à Theodora de devenir la nouvelle représentante d'une France qui n'a pas peur du mélange. Jean-Vic Chapus vient au micro de Au Long nous raconter sa rencontre avec le phénomène, après avoir livré l'article La tempête Theodora, co-écrit avec Joachim Barbier, publié dans le 248è numéro de Society.

Sean Combs, alias Puff Daddy, P. Diddy, Puffy ou encore Diddy selon les époques, s'est fait un vrai nom dans le milieu du rap mondial en enchaînant les tubes, les prods et les grosses lunettes. Et puis, récemment, les langues se sont déliées et une autre facette de sa personne est apparue. Depuis septembre 2024, le rappeur, jusque-là protégé par son influence et la terreur qu'elle peut engendrer, est poursuivi par la justice américaine pour des chefs d'accusation gravissimes : “violences conjugales”, “agressions sexuelles”, “harcèlement sexuel”, “viol”, “viol en réunion”, “soumission chimique”, “trafic sexuel, dont de mineurs” et “trafic d’êtres humains”. Un cas qui n'est pas sans rappeler les affaires Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein ou R. Kelly. Pour Society, les journalistes David Alexander Cassan et Théo Denmat ont tenté d'en savoir plus –et ils ont réussi. Au micro de Noémie Pennacino, le premier revient sur leur enquête.

Le 7 septembre 1996, à Las Vegas, une Cadillac blanche avec quatre hommes à bord s'arrêtait à hauteur de la BMW de Tupac et tirait sur le rappeur star. 28 ans plus tard, alors que l'aura du musicien n'a jamais été aussi grande et que les théories les plus folles sur son meurtre continuent à tourner, qu'en reste-t-il? Pour le savoir, notre journaliste Raphäel Malkin a enquêté dans l'Ouest américain sur le destin tragique des quatre suspects, à l'heure où l'un d'entre eux, Keefe D, passera bientôt en procès. Et Raphaël vient nous dévoiler dans cet épisode de Au Long, les secrets de fabrication de cet article de 18 pages, Qui a tué Tupac Shakur?, publié dans le 236è numéro de Society.

Jérôme Lavrilleux est sorti de l'ombre une fois, pour prendre tout seul toutes les balles de l'affaire Bygmalion, en direct à la télévision. Dix ans plus tard, il est de retour. Peut-être avec un plan derrière la tête. Les journalistes Antoine Mestres et Victor Le Grand, auteurs d'un portait de Jérôme Lavrilleux dans le 244è numéro de Society, sont au micro de Au Long pour donner quelques réponses et les coulisses de cette rencontre avec l'ancien king des "dircab'" de la politique française.

Il y a des jobs plus cool que les autres. José R. Ralat, par exemple, est critique culinaire spécialisé dans les tacos au Texas. Chaque jour, il parcourt l'État pour aller goûter ces petites tortillas de maïs remplies de mets plus ou moins délicieux (c'est lui qui décide). Thomas Pitrel, lui, est co-rédacteur en chef de Society. Pour le traditionnel numéro spécial élections américaines, il a suivi José R. Ralat pendant deux jours. Ici, il raconte comment il a rendu son article appétissant et comment à travers des tacos, on peut raconter l'Amérique.

Pendant près d'un an, Society a couru après Julian Casablancas, connu par le grand public comme le chanteur-leader des Strokes. Difficile de trouver un créneau avec cet insaisissable, mais pas impossible. David Alexander Cassan, journaliste pour Society, vient au micro de Au Long raconter cette longue chasse, qui a abouti à l'écriture de l'article "Appelez ça le destin, appelez ça le karma", publié dans le 242è numéro du magazine Society.

Imaginez-vous tous les 15 jours devant une page blanche, que vous multipliez par 84, comme le nombre de pages d'un magazine Society. Thomas Pitrel, co-rédacteur en chef de Society, s'est arrêté au micro de Au Long pour nous expliquer comment on construit le sommaire d'un tel magazine. Le tout en citant Sniper. Et pourquoi pas?