Allez j'ose !

Vous le savez, avant chaque interview pour le podcast, je suis partagée entre la joie et le trac. Et ce jour-là tout particulièrement, parce que c’est à une femme qui m’a beaucoup inspirée dans mon métier de journaliste que je vais oser parler de la ménopause.C’est dans les bureaux de sa maison de production, au 9ème étage d’un immeuble parisien, que notre invitée nous a accueillie avec douceur et vue sur toute la ville.Poser un regard sur l’époque, c’est ce que Mireille Dumas s’applique à faire depuis le début de sa carrière. Réalisatrice de documentaires, productrice et célèbre présentatrice des émissions “Bas les masques”, “La vie à l'endroit" puis "Vie privée, Vie publique”, elle n’a cessé de prendre le pouls de la société en donnant la parole aux autres. Oui, les autres, anonymes ou célèbres, voilà la clef selon Mireille Dumas pour avancer et rester en mouvement.Sa bienveillance et son écoute ont fait sa signature, et cela a contribué à marquer une génération. Aujourd’hui elle poursuit son travail sur YouTube, en éclairant l’actualité à l’aide de ses 4 décennies d’archives télévisées. Bon je vous préviens, nous avons eu une visite plutôt inattendue, je vous laisse découvrir ça.Vous êtes prêts ? C’est parti !

Aujourd'hui, on a fait un petit pas de côté, on vous a concocté un épisode à part, pour réfléchir à la ménopause sous un angle un peu différent. Celui de la sociologie. Mais laissez-moi d'abord vous raconter une petite histoire : Il y a 10 ans, Cécile Charlap, jeune sociologue travaillant sur la franc-maçonnerie, interroge des femmes qui lui racontent être rentrées en franc-maçonnerie autour de la cinquantaine : les enfants sont grands, le boulot établi et la ménopause... en cours. Ces références à la ménopause travaillent Cécile Charlap qui ne saisit pas tout de suite. Elle se rend vite compte que le sujet est très étudié aux Etats-Unis et au Canada, mais pas du tout en France. Un secret qui concerne la moitié de la population, ça s'appelle un tabou - que la jeune sociologue entend bien comprendre et dénoncer. En 2019, après des années de travail acharné, Cécile Charlap sort « la fabrique de la ménopause », dans lequel elle propose une réflexion profonde et éclairante sur la manière dont la ménopause est construite et vécue dans nos sociétés contemporaines. Et qui est devenu l'ouvrage référence sur le sujet. Il nous paraissait donc essentiel, pour ne pas dire indispensable de l'interroger dans ce podcast. Et comme elle se nourrit d’expériences et de paroles, nous lui avons proposé d’entendre celles de nos invitées. Leurs récits et le décryptage sociologique proposé par Cécile Charlap vont se télescoper et se répondre pour vous proposer d'autres pistes de réflexion. Vous êtes prêtes ? Alors c'est parti !

L’épisode d’aujourd’hui est exceptionnellement enregistré à distance !Et oui, notre invitée est dans le Sud de la France, et entre ses tournages et les épisodes cévenoles c’était compliqué de se donner rendez-voussur place ! Alors un petit appel sur Zoom s’est imposé !C’est avec une actrice devenue incontournable sur le petit écran dès le début des années 90 que je discute aujourd’hui.Sa fraîcheur et sa beauté ont marqué les esprits. Elle avait alors à peine 20 ans, elle venait du mannequinat et faisait ses premiers pas decomédienne…Vanessa DEMOUY bien sûr !Et comme bien souvent quand on est une femme, Elle a dû trouver comment s’émanciper des jugements réducteurs, et des étiquettes qu’ona voulu lui coller. Trop jolie pour être intelligente ? Trop mannequin pour être comédienne ? Trop ceci, pas assez cela ...Tout au long de notre vie on est toujours trop ou pas assez dans le regard des autres, ça suffit !Aujourd’hui à 51 ans Vanessa Demouy plus épanouie que jamais, poursuit sa belle carrière comme elle l’entend, en incarnant le rôle deRose Latour dans la série quotidienne culte de TF1 “Ici tout commence”.Elle nous raconte comment elle a trouvé ce fameux chemin pour s'affirmer, et suivre ses propres désirs !

Après des jours et des jours de pluie, il fait enfin beau ! Une petite brise fait danser les branches des arbres encore vertes, et je viens de me faire draguer à la terrasse du café où je préparas l'interview. Et ça, ça faisait un petit bout de temps, voir quelques longues années que ça ne m'était pas arrivée.C'est donc avec le 06 d'un mignon trentenaire dans la poche que je me rends à mon rendez-vous et je me dis que c'est quand même marrant que ça m'arrive là, maintenant, alors qu'on va rencontrer deux femmes - pas une ! - deux femmes.Cette femme qui ose faire et dire, c'est Valérie Trierweiler.Journaliste, autrice, mère de famille, femme publique, elle s'est imposée avec talent et ténacité dans un domaine souvent dominé par les hommes. Elle a toujours su tracer son propre chemin, et préserver son indépendance, envers et contre tout.Elle vient d'écrire à quatre mains un livre avec Constance Vergara, journaliste également, et amie de longue date.Ensemble, elles déconstruisent joyeusement pas mal de clichés et décortiquent les joies, les peines, les amis, les amours et les emmerdes des femmes à la cinquantaine.

Aujourd'hui, Nous sommes le vendredi 18 octobre. C’est la journée mondiale de la ménopause ! En France, nous sommes plus de 14 millions de femmes à être ménopausées. C'est un passage qui nous concerne toutes, mais qu'on traverse souvent seules. Et sur lequel, on ignore encore beaucoup de choses.Pour certaines ça va.Pour d'autres, ça peut tanguer très fort.Ce n'est pas juste une phase de vie, c'est un chamboulement. Maintenant, c’est ici qu’il faut que ça bouge !En cette occasion nous sommes allées à la rencontre d'une femme exceptionnelle, qui travaille depuis longtemps déjà à faire bouger les lignes ! Elle s'appelle Anna Roy, elle est militante, cash, libre, drôle, et combat sur tous les fronts pour protéger NOTRE santé. Ecoutez-la, c'est passionnant.

Ce matin, je suis au taquet sur ma tenue ! Parce qu’il se trouve que je m’apprête à pousser la porte de l’agence de la papesse du look, mais pas seulement. La première invitée de notre saison 2 est Franco-brésilienne, ex-mannequin, elle a été élue animatrice préférée des français, et a fêté ses 20 ans de carrière en télé. Elle est aussi et surtout conseillère en image et vient de lancer sa marque de maquillage vegan.Magnifaïk, Cristina Cordula l’est, incontestablement. Mais c’est ce qu’elle dégage qui impressionne le plus. A 60 ans, elle possède une force, une joie de vivre qui la font irradier, et qui se situent bien au-delà de l’apparence physique. 

Trop contente de vous retrouver pour une deuxième saison de Allez J’ose ! Alors cette année on est hyper motivées pour vous concocter une saison 2 pleine de surprises. Et pour ce premier épisode j’ai décidé de vous écouter ! Vous avez été nombreuses à me demander de prendre la place de l’invitée, alors aujourd’hui c’est moi qui m’y colle ! Et si vous vous souvenez bien, c’était Agathe Lecaron qui m’avait lancé ce petit défi... Un défi parce que, finalement, c’est pas si facile de parler de soi, mais je pense que c’était important de le faire. J’espère que ça vous plaira ! Allez, c’est parti ! 

Aujourd’hui, dans Allez J’ose !, j’ai eu envie de vous proposer un épisode un peu différent. Un épisode où deux voix se répondent et s’entremêlent. Celle d’une femme et, une fois n’est pas coutume, celle d’un homme aussi.Elle est comédienne, metteuse en scène et autrice.Il est psychiatre, psychothérapeute et auteur de nombreux ouvrages.Ils ne se connaissent pas, mais auraient probablement beaucoup de choses à se dire. Mathilda May et Christophe André se parlent, par voix interposées, de la ménopause, du temps qui passe et des différentes façons d’y faire face. Je les ai rencontrés tous les deux…Avec Mathilda, on a discuté en en regardant la pluie tomber; avec Christophe, on a bavardé dans son jardin, au son du chant des oiseaux.Deux voixDeux vécusDeux regardsÇa vous dit ? Alors on est parti !Et n'oubliez pas le dernier livre de Christophe André, S'estimer et s'oublier, sorti cette année aux Editions Odile Jacob.