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cover art for Cash Out - les coulisses des exits en musique

Cash Out - les coulisses des exits en musique

La petite musique des plus belles reventes d'entreprise.

Le podcast de l'exit en musique. Vendre son entreprise, beaucoup y pensent, peu y sont réellement préparés. Pour des raisons autant professionnelles que personnelles, certains fondateurs décident à un moment de céder leu

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  • :93 Seul avec du monde autour - Quentin Guilluy - Andjaro cédée à Silae

    01:30:29|
    “Une cession est choc violent dans ta vie”. Voilà ce que conclut Quentin Guilluy au moment de raconter sa cession d’Andjaro à Silae.Il faut dire qu’il a vécu des moments très forts.Déjà parce que l’aventure Andjaro démarre alors que Quentin n’a que 24 ans. Après un pivot rapide, lui et ses 3 associés lancent une plateforme de gestion pour le remplacement de personnel en urgence. Un positionnement qui attire de grands comptes comme Elior ou Sodexo.Puis arrive un moment charnière : Andjaro dépasse les 5M d’ARR, une bascule selon Quentin. De nouvelles opportunités s’ouvrent à eux, et se posent alors la question : lever ou vendre ?Rapidement, ils rencontrent plusieurs acteurs, et Silae se positionne très vite. Vont suivre alors plusieurs mois de négos, marqués par ce que Quentin qualifie comme l’un des pires jours de sa vie : la faillite de la Silicon Valley Bank qui menace de faire capoter le deal à quelques semaines de la signature.Une signature qui mettra d’ailleurs plusieurs jours à arriver, et que Quentin fêtera seul, chez lui, avec une bière commandée et livrée à domicile..Dans cet épisode, Quentin revient sur tout ce qu’il a traversé, une aventure qu’il qualifie comme un “enchainement de sprints” et qui auront fini par l’user. Il raconte notamment :sa déprime post-cession : un moment où il se sentait très seul et comment il l’a surmonté notamment grâce à Rachel Delacourla naissance de son fils peu après la cession qui lui fait prendre conscience qu’il fallait faire pausesa nouvelle vie en tant que CEO de TeamstarterUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l’agence qui crée des contenus et des médias d’inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs 🎧

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  • :92 Signer à 3h du matin, et être viré 3 mois avant la fin - Maxime Barbier - MinuteBuzz

    01:28:08|
    “Mieux vaut un que deux tu l’auras” : voilà la grande leçon de la cession de Maxime Barbier et MinuteBuzz à TF1.Fondateur de MinuteBuzz, l’un des premiers médias viraux en France, Maxime Barbier fait un choix radical : abandonner les millions de visiteurs mensuels de son site pour devenir 100 % réseau social.Un pari fou ? Plutôt visionnaire. Très vite, MinuteBuzz explose : 18 millions d’abonnés et des centaines de millions de vues chaque mois. C’est ce virage osé qui attire l’attention de TF1.Le premier contact est une mission d’audit obtenue grâce au culot de son associée. Puis les négociations démarrent, durent quelques mois, et se finissent dans un cabinet d’avocat à 3h du matin.Jusque là tout va bien.Mais Maxime l’assume : le melon est vite arrivé ensuite. Des nouveaux locaux, des studios tout neufs, quelques millions d’euros et une série de vidéo sur sa vie l’ont peut-être empêché de d’anticiper ce qui allait arriver.À 3 mois de la fin de son earn-out, il se fait virer. Un départ en 4 jours, et une aventure qui s’arrête brusquement.Dans cet épisode, Maxime Barbier évoque sans filtre :Les débuts de MinuteBuzz et le pivot décisif qui lui a évité de planterle vide après TF1 et sa quête de senssa nouvelle vie avec Timeleft, la plateforme qui fait se rencontrer des milliers d’inconnus à travers le mondeUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l’agence qui crée des contenus et des médias d’inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs 🎧
  • :91 Du Minitel à la bourse : le parcours d’un pionnier du web - Michael Copsidas - LeGuide.com

    01:17:54|
    Michael Copsidas l’un des pionniers du web français, il a longtemps réussi à concurrencer Google avec LeGuide.com, et il est le premier de nos invités à être entré en bourse. Cela donne le ton pour ce nouvel épisode exceptionnel et cette cession pas comme les autres.Michael est un visionnaire. Il lance sa première entreprise au temps du Minitel. À l’époque, l’idée était simple : aider les consommateurs à s’y retrouver dans la jungle des services. Mais quelques années plus tard, il est l’un des premiers à basculer sur Internet, fusionne avec une startup technique, et crée l’un des premiers comparateurs de prix européens avec LeGuide.com.L’entreprise devient un acteur majeur du e-commerce. Levées de fonds, acquisitions, croissance… puis l’entrée en bourse en 2006. Une forme de consécration.Quelques années plus tard, LeGuide a toujours le vent en poupe. Ils arrivent même à passé n°1 de l’e-commerce devant Google pendant un petit temps, de quoi attirer Lagardère Active qui leur propose une OPA. Michael refuse dans un premier temps.Mais ils reviennent, et la deuxième proposition est impossible à refuser. L’OPA est signée en 2012.Dans cet épisode, Michael Copsidas évoque sans filtre :la notion de “Google Dance” et comment le géant américain a fini par tuer LeGuide.comEcogeste, le guide des bons gestes de l’économie circulaire, qu’il a lancé après LeGuide.com, un peu comme une rédemptionla première proposition d’OPA en 2009 qui ne s’est pas passée comme prévuUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l’agence qui crée des contenus et des médias d’inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs 🎧
  • :90 Acheter une boite malade, la soigner et la vendre pour un tour du monde - Gregory Amar - EDDO

    01:28:52|
    À 29 ans, Grégory Amar prend un risque que peu oseraient. Il s’endette pour racheter une entreprise, avec une idée fixe : la développer et la revendre.Et alors que tout le monde le pensait fou, Grégory réussit son pari. Après une première année à rembourser sa dette et une deuxième de forte croissance, la suite logique pour changer d’échelle est une cession.Il rencontre alors les dirigeants de Line Up 7 aux BigBoss, qui organisent des événements B2B réunissant les grands décideurs français. Ils ne tournent pas autour du pot, testent leurs synergies pendant quelques mois, et la cession vient comme une évidence.Trois ans après avoir repris la boite, Gregory cède Eddo pour 4 millions d’euros à Line Up 7.Un deal bien négocié, une signature euphorique, un chèque en main… puis une claque.Dès les premières minutes post-signing, le ton change. Alors que Grégory et son associé, encore portés par l’adrénaline de la vente, immortalisent le moment par un selfie avec leur chèque, le repreneur les fixe, stupéfait : « Vous êtes sérieux ? » L’ambiance devient glaciale.Ce qui devait être une transition fluide se transforme en deux salles, deux ambiances.Pourquoi un tel décalage entre l’enthousiasme des vendeurs et la rigidité du repreneur ? Comment une simple différence de posture peut-elle impacter l’intégration après la cession ?Les mois d’earn-out qui suivront seront tendus : entre désalignement stratégiques et changement de modèle, l’entente n’est plus aussi cordiale.2020, le covid finit de convaincre Grégory à quitter l’aventure plus tôt que prévu. Il peut enfin réaliser son rêve : partir 2 ans en tour du monde.. Un tour du monde qui se limitera à 4 mois sur des îles aux Antilles, puis un retour en France où il profitera de sa nouvelle vie de jeune papa.Aujourd’hui, Grégory a même complètement bouclé la boucle puisqu’il est devenu le nouveau DG des BigBoss.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l’agence qui crée des contenus et des médias d’inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs 🎧
  • :89 De vendeur à acquéreur de la même boite, l’incroyable aventure de Guillaume de Kergariou avec Needhelp

    01:46:27|
    Entrepreneur un jour, entrepreneur toujours. Voilà comment résumer l’aventure de Guillaume de Kergariou avec Needhelp.Après une brève expérience en M&A, Guillaume voit qu’il n’est pas à sa place. Il a surtout une idée qui pourrait bouleverser le “future of work”. Il pitch l’idée à ses amis d’enfance dans un kibboutz en Israël, et de là naît Needhelp, une marketplace pour déléguer les petits travaux manuels.Très vite, le modèle bascule du BtoC au BtoBtoC. La traction est forte, la croissance importante, Guillaume mène une première levée de fonds en 2017, et au moment d’entamer sa série B en 2020, un rendez-vous avec Kingfisher, l’un de ses clients à l’époque, change la donne.Le groupe anglais propose de rentrer au capital ; Guillaume leur fait comprendre qu’il n’acceptera que s’il s’agit d’un rachat. Après plusieurs mois de négociations, la cession est signée en novembre 2020 : Kingfisher rachète Needhelp.Mais l’aventure ne s’arrête pas là.Locké 5 ans, Guillaume s’investit à fond pour intégrer au mieux Needhelp, et malgré quelques petites divergences, l’intégration se passe bien. Mais en 2024, Guillaume a une nouvelle idée : créer Octorenov, une société sœur de Needhelp qui permettrait aux retailers de digitaliser leur service d’installation. D’entrepreneur, il devient intrapreneur.Mais l’envie de liberté est toujours là, et la sensation que ce nouveau projet peut exploser s’il est mené rapidement le pousse à prendre une décision : racheter Octorenov à Kingfisher.Les négociations s’inversent, Guillaume se retrouve dans la peau de l’acquéreur, et finit par acheter Octorenov à Kingfisher. Un deal final dans lequel il signera également le rachat de Needhelp !Dans cet épisode, vous allez découvrir comment Guillaume de Kergariou, toujours animé par une vraie volonté de disrupter le “future of work”, a fini par racheter son entreprise à son acquéreur.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l’agence qui crée des contenus et des médias d’inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs 🎧
  • :88 Vendre sa boîte et devenir CEO de son propre acquéreur - Benoit Praly - Domoscio

    01:33:18|
    En 3 mois, Benoit Praly, co-fondateur de Domoscio, aura cédé 2 boites : la sienne et celle qui l’a racheté.Benoit Praly a vécu une aventure entrepreneuriale hors norme avec Domoscio, sa startup spécialisée dans la formation augmentée par l’IA. 🎓📌 Tout commence en 2012. Fraîchement diplômé, il veut révolutionner l’apprentissage avec une technologie de mémorisation intelligente. Le modèle semble prometteur… mais l’adoption est compliquée. Les étudiants téléchargent l’application, mais personne ne paie. 30 000 utilisateurs, seulement deux clients payants. Échec cuisant.Plutôt que d’abandonner, il pivote. En 2015, il transforme Domoscio en une solution B2B destinée aux grandes entreprises et institutions. Pari gagnant. En 2017, l’entreprise devient rentable. En 2019, il franchit un cap en basculant en SaaS. Et puis arrive le Covid : au lieu de subir, il en profite pour réinventer entièrement son modèle.🚀 2022. Domoscio a changé d’échelle. Benoit est face à un dilemme : lever des fonds ou vendre ?Il choisit la deuxième option. Mais pas à n’importe qui.👉 Il négocie avec MySkillCamp, trouve un terrain d’entente et signe un deal à 5 fois l’ARR, valorisant sa boîte entre 5 et 10 millions d’euros.👉 Le jour du signing, il vit ce moment charnière : se réveiller en étant fondateur, et se coucher en étant ex-fondateur.👉 Après la signature, pas de champagne hors de prix ni de grand discours. Un simple fish & chips dans un restaurant du coin. « On s’était préparé au cérémonial, mais pas à l’après »Mais l’histoire ne s’arrête pas là.Trois mois plus tard, MySkillCamp lui propose de prendre la tête du groupe. Ironie du sort : il se retrouve CEO de l’entreprise à qui il a cédé pour accompagner sa cession.Une cession qui se fera d’ailleurs à un repreneur potentiel de Domoscio qui avait été écarté !Une preuve qu’il faut savoir dire non poliment !🎙️ Dans cet épisode, il raconte tout :- les sujets de tension pendant les négos : des micros détails sur lesquels personne ne voulait lâcher- comment il a vécu l’après-Domoscio, lui qui s’était projeté à plus long terme- comment il occupe désormais son temps aujourd’hui : entre moment pour soi et une nouvelle vie de business angelUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l’agence qui crée des contenus et des médias d’inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs 🎧
  • :87 Il a plus négocié avec ses actionnaires qu’avec le repreneur - Jean-Pierre Nadir - easyVoyage

    01:45:09|
    Vous le connaissez juré dans Qui veut être mon associé, mais connaissez-vous l’histoire de Jean-Pierre Nadir et de sa cession d’easyVoyage à Webedia ?En 2000, il a une ambition : transformer l’univers du voyage grâce à Internet.À l’époque, peu croyaient en la révolution numérique, et encore moins dans un comparateur de prix pour un secteur aussi traditionnel que le voyage.Les premières années sont donc difficiles : il faut convaincre des investisseurs sceptiques, lancer un modèle trop en avance sur son temps, et gérer le stress de la survie.Après 2 premières années sans CA, vient le déclic. L’essor de la billetterie en ligne, notamment avec la SNCF, change la donne. Easyvoyage devient petit à petit une référence et leader sur son secteur.Mais en 2015, la concurrence est féroce, Easyvoyage doit se battre face à des ogres aux moyens colossaux. Et après avoir refusé plusieurs fois de céder, Jean-Pierre Nadir doit se rendre à l’évidence : pour continuer à exister, la seule solution est de vendre.Vont alors suivre des négociations plus que tendues avec ses actionnaires, quand celles avec le repreneur, Webedia, vont se dérouler sans encombre.Dans cet épisode, Jean-Pierre se livre sans filtre sur toutes cette aventure. Il raconte notamment :le jour du closing où il a fallu négocier jusqu’au dernier moment avec un actionnaire réticentun problème juridique qui aurait pu faire annuler la cession la veille du dealsa plus grande réussite dans “Qui veut être mon Associé ?“ avec l’aventure exceptionnelle de PalomanoUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l’agence qui crée des contenus et des médias d’inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs 🎧